ARM présente sa nouvelle architecture, taillée pour l'intelligence artificielle
Par Didier Pulicani - Publié le
ARM est une petite société britannique qui crée des processeurs destinés principalement aux appareils mobiles, comme les iPhone, iPad et autres dispositifs embarqués.
Mais ces dernières année, le champ d'action de ces puces s'est bien élargi, et on les retrouve désormais dans les objets connectés, les voitures ou même dans les consoles de jeux vidéo. ARM capitalise depuis 2011 sur une technologie appelée BIG.little, qui permet d'avoir plusieurs coeurs travaillant à des vitesses différentes en fonction des usages. Cela permet de limiter la consommation lors des phases de repos tout en bénéficiant d'une belle puissance de calcul lorsque c'est nécessaire.
Avec
Enfin, ARM déclare avoir licencié plus de 50 milliards de puces entre 2013 et 2017 ! La barre des 100 milliards pourrait être franchie dès 2021.
Mais ces dernières année, le champ d'action de ces puces s'est bien élargi, et on les retrouve désormais dans les objets connectés, les voitures ou même dans les consoles de jeux vidéo. ARM capitalise depuis 2011 sur une technologie appelée BIG.little, qui permet d'avoir plusieurs coeurs travaillant à des vitesses différentes en fonction des usages. Cela permet de limiter la consommation lors des phases de repos tout en bénéficiant d'une belle puissance de calcul lorsque c'est nécessaire.
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DynamIQ, ARM va encore plus loin en proposant un système de contrôle qui permet d'offrir une plus grande souplesse sur l'architecture générale, en autorisant des combinaisons plus diverses, avec des coeurs plus disparates. Par exemple, il sera possible d'inclure des puces ultra-spécialisées sur certains calculs, comme l'exigent désormais certaines technologies automobiles. ARM affirme également avoir réduit drastiquement la latence, un paramètre essentiel pour accélérer les temps de calcul. La firme promet des performances qui pourrait grimper en flèche (x10 à x50) d'ici 3 à 5 ans en intelligence artificielle, avec dans le viseur, les besoins des futures voitures autonomes.
Enfin, ARM déclare avoir licencié plus de 50 milliards de puces entre 2013 et 2017 ! La barre des 100 milliards pourrait être franchie dès 2021.