Apple, Google et Facebook ne s'opposeraient pas au nouveau décret migratoire
Par Laurence - Publié le
Après la franche opposition à la première mesure, Apple, Google, Facebook mais également Microsoft, eBay, Intel, Netflix et Twitter font partie de la soixantaine de sociétés tech, qui semblent avoir renoncé à la contestation -légale tout du moins- du nouveau décret migratoire de Donald Trump.
En effet, 58 sociétés (contre 127 pour son prédécesseur) ont déposé à l'encontre du second décret, un mémoire devant une cour fédérale d'Hawaï. Parmi les signataires de ce dernier, même si les poids lourds de la Silicon Valley se sont abstenus, on compte Airbnb, Dropbox et Kickstarter.
Selon les médias, l'action est présentée comme ayant toutes les chances de réussir. En effet, le juge du district américain d'Honolulu, Derrick Watson, a ordonné hier la suspension -en urgence- de la mesure. Le Président des États-Unis a une nouvelle fois contesté la démarche, dénonçant une réaction judiciaire disproportionnée et appelant à la sécurité nationale.
Rappelons que les entreprises tech, qui comptent généralement davantage sur les travailleurs étrangers qualifiés, ont joué un grand rôle pour arrêter la première version du texte. Les raisons de ce revirement n’apparaissent pas clairement, même si, à l'occasion, les actionnaires de ses sociétés ont reproché une trop grande politisation, comme cela a été le cas lors de la dernière assemblée de CUpertino. Interrogés, les représentants d'Apple, Google, eBay, Intel, Microsoft et Netflix n'ont pas souhaité répondre.
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En effet, 58 sociétés (contre 127 pour son prédécesseur) ont déposé à l'encontre du second décret, un mémoire devant une cour fédérale d'Hawaï. Parmi les signataires de ce dernier, même si les poids lourds de la Silicon Valley se sont abstenus, on compte Airbnb, Dropbox et Kickstarter.
Image Reuters
Selon les médias, l'action est présentée comme ayant toutes les chances de réussir. En effet, le juge du district américain d'Honolulu, Derrick Watson, a ordonné hier la suspension -en urgence- de la mesure. Le Président des États-Unis a une nouvelle fois contesté la démarche, dénonçant une réaction judiciaire disproportionnée et appelant à la sécurité nationale.
Rappelons que les entreprises tech, qui comptent généralement davantage sur les travailleurs étrangers qualifiés, ont joué un grand rôle pour arrêter la première version du texte. Les raisons de ce revirement n’apparaissent pas clairement, même si, à l'occasion, les actionnaires de ses sociétés ont reproché une trop grande politisation, comme cela a été le cas lors de la dernière assemblée de CUpertino. Interrogés, les représentants d'Apple, Google, eBay, Intel, Microsoft et Netflix n'ont pas souhaité répondre.
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