Alors que les annonces se succèdent autour de CarPlay et d'Android Auto,
Toyota a finalement refusé de laisser entrer Google et Apple dans ses voitures. A la place, le japonais met en place
SmartDeviceLink, un système également plébiscité par Ford mais privilégiant des technologies OpenSource et affichant de fait moins de compatibilité avec les smartphones existants. C'est sans aucune doute une grosse erreur stratégique de la part de Toyota,
seul grand constructeur à encore refuser la plateforme de Cupertino. Côté français, même Renault
avait fini par plier face à l'adoption massive de CarPlay par ses concurrents. Reste à savoir si les clients seront sensibles à ce type de décision au moment de l'achat de leur véhicule. (chez les geeks, ça ne fait aucun doute !)