Andy Hertzfeld apprécie le biopic sur Steve Jobs
Par Ergo - Publié le
Le biopic sur Steve Jobs sort très bientôt et tout le monde tente de connaître les avis et points de vue des personnes de l'époque ayant côtoyé Steve Jobs au long de sa vie. Aujourd'hui, c'est Andy Hertzfeld qui a été sollicité par Re/Code. Je n'ose vous faire l'affront de vous rappeler l'apport considérale de Herztfeld au projet Macintosh au début des années 80...
Et le père Andy est plutôt bienveillant avec le long métrage de Danny Boyle. Il le qualifie de film intéressant, brillamment écrit et interprété avec humour et brio. Mais, si le film dévie de la réalité en à peu près tous les points évoqués, cela ne modifie pas le déroulé global des événements. Selon lui, ce film est fait pour divertir et pour inspirer, pas pour retranscrire avec une scrupuleuse exactitude la réalité. S'il prend quelques libertés avec les faits, il parvient sans mal à explorer et exposer de profondes vérités sur la personnalité de Steve Jobs.
Suite aux discussions avec Aaron Sorkin, il a pu admettre que le film ne devait pas être considéré comme un documentaire mais plutôt comme une vision artistique de la vie de Steve Jobs.
Globalement, le film doit être considéré plus comme une peinture impressionniste de la réalité plutôt que comme une photographie.
Source - Via
Et le père Andy est plutôt bienveillant avec le long métrage de Danny Boyle. Il le qualifie de film intéressant, brillamment écrit et interprété avec humour et brio. Mais, si le film dévie de la réalité en à peu près tous les points évoqués, cela ne modifie pas le déroulé global des événements. Selon lui, ce film est fait pour divertir et pour inspirer, pas pour retranscrire avec une scrupuleuse exactitude la réalité. S'il prend quelques libertés avec les faits, il parvient sans mal à explorer et exposer de profondes vérités sur la personnalité de Steve Jobs.
Suite aux discussions avec Aaron Sorkin, il a pu admettre que le film ne devait pas être considéré comme un documentaire mais plutôt comme une vision artistique de la vie de Steve Jobs.
Globalement, le film doit être considéré plus comme une peinture impressionniste de la réalité plutôt que comme une photographie.
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