Xiaomi pourrait lancer son PC portable début 2016
Par Arthur de la Brosse - Publié le
Après les traqueurs d'activité, les balances connectées, les téléviseurs et les smartphones, Xiaomi pourrait prochainement se lancer dans la conception d'ordinateurs portables, et s'apprêterait même à commercialiser son premier laptop dès le début de l'année prochaine.
Bloomberg rapporte en effet que la firme chinoise aurait mené plusieurs discussions avec Samsung pour la production des composants de stockage de la future machine, et il se murmure que le constructeur coréen pourrait également fournir en l'écran.
Peu de détails circulent encore sur ce nouveau laptop, on ne sait rien par exemple du système d'exploitation qui sera retenu par Xiaomi, ni si la compagnie compte y appliquer la même personnalisation que sur ses smartphones sous Android.
On peut enfin supposer que le constructeur chinois appliquera avec ses futurs PC portables la même stratégie qui lui a permis de faire son trou sur le marché des smartphones et des wearables, à savoir proposer des produits aux specs relativement alléchantes mais vendus à prix cassés (quitte à réduire les coûts de R&D en jetant de temps à autre un oeil furtif sur le catalogue de ses concurrents, diront les mauvaises langues).
Bloomberg rapporte en effet que la firme chinoise aurait mené plusieurs discussions avec Samsung pour la production des composants de stockage de la future machine, et il se murmure que le constructeur coréen pourrait également fournir en l'écran.
Peu de détails circulent encore sur ce nouveau laptop, on ne sait rien par exemple du système d'exploitation qui sera retenu par Xiaomi, ni si la compagnie compte y appliquer la même personnalisation que sur ses smartphones sous Android.
On peut enfin supposer que le constructeur chinois appliquera avec ses futurs PC portables la même stratégie qui lui a permis de faire son trou sur le marché des smartphones et des wearables, à savoir proposer des produits aux specs relativement alléchantes mais vendus à prix cassés (quitte à réduire les coûts de R&D en jetant de temps à autre un oeil furtif sur le catalogue de ses concurrents, diront les mauvaises langues).