Reconnaissance faciale : Apple sur les traces de Facebook et Google
Par Arthur de la Brosse - Publié le
Alors que Facebook propose depuis quelques semaines dans l'App Store américain moments, qui permet de partager des photos avec ses proches et intègre un moteur de reconnaissance faciale censé faciliter l'envoi vers les sujets visibles sur les clichés.
Cette méthode aurait également été envisagée par Apple, qui a déposé en 2014 un brevet à l'USPTO à ce sujet, décrivant plusieurs méthodes similaires, dont une où les personnes reconnues sur une photo pourraient être automatiquement ajoutées à la liste des destinataires pour un partage rapide et facile, et une seconde où un clic sur le visage d'un sujet identifié ouvrirait automatiquement la fiche ad-hoc dans son répertoire.
La Pomme utilise par ailleurs déjà un moteur de reconnaissance faciale pour les clichés stockés dans l'application Photos, et pourrait sans doute utiliser ce brevet pour améliorer les fonctions de partage du logiciel. Comme dans ce dernier, l'utilisateur aurait également la possibilité de taguer lui-même les personnes présentes sur une photo, ou encore d'éditer et de supprimer les tags proposés par le système. Une option d'envoi automatique pourrait en outre partager directement les clichés vers les appareils de ses sujets, à condition que l'utilisateur ait donné son aval en amont.
En introduisant des fonctions de reconnaissance faciale au sein de son système mobile, Apple pourrait également entrer en concurrence avec le nouveau service Google Photos de Google, lequel analyse les personnes et les éléments présents sur ses clichés et permet ensuite de retrouver facilement une image en saisissant une recherche naturelle.
Dans son document, rendu public cette semaine par l'USPTO, Apple précise que les informations liées à la reconnaissance faciale pourraient être stockées localement ou dans le Cloud, bien que la position très protectrice sur les questions de vie privée laissent supposer que seule la première option sera retenue par la compagnie, si toutefois la fonctionnalité venait à voir le jour.
Source
Cette méthode aurait également été envisagée par Apple, qui a déposé en 2014 un brevet à l'USPTO à ce sujet, décrivant plusieurs méthodes similaires, dont une où les personnes reconnues sur une photo pourraient être automatiquement ajoutées à la liste des destinataires pour un partage rapide et facile, et une seconde où un clic sur le visage d'un sujet identifié ouvrirait automatiquement la fiche ad-hoc dans son répertoire.
La Pomme utilise par ailleurs déjà un moteur de reconnaissance faciale pour les clichés stockés dans l'application Photos, et pourrait sans doute utiliser ce brevet pour améliorer les fonctions de partage du logiciel. Comme dans ce dernier, l'utilisateur aurait également la possibilité de taguer lui-même les personnes présentes sur une photo, ou encore d'éditer et de supprimer les tags proposés par le système. Une option d'envoi automatique pourrait en outre partager directement les clichés vers les appareils de ses sujets, à condition que l'utilisateur ait donné son aval en amont.
En introduisant des fonctions de reconnaissance faciale au sein de son système mobile, Apple pourrait également entrer en concurrence avec le nouveau service Google Photos de Google, lequel analyse les personnes et les éléments présents sur ses clichés et permet ensuite de retrouver facilement une image en saisissant une recherche naturelle.
Dans son document, rendu public cette semaine par l'USPTO, Apple précise que les informations liées à la reconnaissance faciale pourraient être stockées localement ou dans le Cloud, bien que la position très protectrice sur les questions de vie privée laissent supposer que seule la première option sera retenue par la compagnie, si toutefois la fonctionnalité venait à voir le jour.
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