Seuls 30% des américains savent que le HomePod existe (85% pour l’Echo)
Par Laurence - Publié le
Grand absent des résultats, le HomePod ne bénéficie pas d’une grande notoriété outre-Atlantique. En effet, selon une récente étude, la société Clutch s’est penchée sur les assistants personnels et leurs utilisateurs. Apparemment, ces derniers recherchent avant tout des informations en temps réel (47%) et l’exécution immédiate de tâches de base.
Sur les 581 personnes interrogées, près de la moitié (48%) possèderait un assistant vocal (c’est beaucoup pour un nombre aussi restreint) et un tiers (33%) envisagerait d’en acheter un dans les trois prochaines années, démontrant ainsi la popularité des dispositifs. L’Echo domine le marché des assistants vocaux (85% des sondés connaîtraient son existence, contre 71% pour le Google Home, et 30% pour le HomePod).
Parmi les propriétaires du panel, 69% utiliseraient leur assistant au moins une fois par jour. En outre, 71% en possèderaient plusieurs car ils souhaitent pouvoir accéder à leurs fonctionnalités à différents endroits de leur domiciles, par exemple dans la cuisine ou dans une chambre.
Pour 46% d’entre eux, une recommandation d’un proche aurait contribué à leur décision d'achat, démontrant ainsi la valeur du bouche à oreille pour le segment. Enfin, pour rebondir sur un sujet brûlant, les utilisateurs seraient préoccupés par le fait que les assistants vocaux stockent des informations personnelles (31%) ou enregistrent des conversations (à 30%) à leur insu.
Source
Sur les 581 personnes interrogées, près de la moitié (48%) possèderait un assistant vocal (c’est beaucoup pour un nombre aussi restreint) et un tiers (33%) envisagerait d’en acheter un dans les trois prochaines années, démontrant ainsi la popularité des dispositifs. L’Echo domine le marché des assistants vocaux (85% des sondés connaîtraient son existence, contre 71% pour le Google Home, et 30% pour le HomePod).
Parmi les propriétaires du panel, 69% utiliseraient leur assistant au moins une fois par jour. En outre, 71% en possèderaient plusieurs car ils souhaitent pouvoir accéder à leurs fonctionnalités à différents endroits de leur domiciles, par exemple dans la cuisine ou dans une chambre.
Pour 46% d’entre eux, une recommandation d’un proche aurait contribué à leur décision d'achat, démontrant ainsi la valeur du bouche à oreille pour le segment. Enfin, pour rebondir sur un sujet brûlant, les utilisateurs seraient préoccupés par le fait que les assistants vocaux stockent des informations personnelles (31%) ou enregistrent des conversations (à 30%) à leur insu.
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