Test express des enceintes Symfonisk par Ikea/Sonos : AirPlay 2 dès 99€
Par June Cantillon - Publié le
Le fruit du partenariat entre Ikea et Sonos est arrivé à la rédaction, avec deux références compatibles AirPlay 2 disponibles dès cet été.
Le géant suédois des meubles en kit et le spécialiste de l'audio Sonos ont joint leurs efforts afin de permettre d'intégrer aux intérieurs des enceintes Wi-Fi design, et dotées d'un rendu sonore de qualité, le tout en affichant un tarif contenu et une ergonomie soignée. La gamme se compose dans un premier temps d'une enceinte étagère et d'une lampe, mais le partenariat ne s'arrêtera pas là, et de nouveaux produits Symfonisk devraient être proposés prochainement.
Les enceintes étagères pourront être posées à la verticale comme à l'horizontale (avec détection automatique de l'orientation), ou s'accrocher au mur et supporter des objets pesant jusqu'à 3 kg. Des crochets optionnels permettront de suspendre l'enceinte sur un rail, avec de pratiques languettes pour enrouler le câble d'alimentation.
Le design est épuré et la finition agréable, avec une grille détachable en tissu et un câble d'alimentation recouvert d'une gaine en nylon tressé. Le choix du plastique pour le boitier souligne l'intention d'offrir un tarif plancher, tout en conservant un rendu agréable. Le tout permettra à l'enceinte de passer inaperçue pour peu que l'on puisse en dissimuler le câble.
L'enceinte mesure 31x15x10 cm pour un poids de 2,16 kg sur la balance. Elle se décline en blanc ou en noir, avec les grilles assorties, et sera livrée avec un câble d'alimentation et un câble Ethernet, également assortis à la teinte de l'enceinte.
Côté fiche technique, l'enceinte dispose d'un tweeter, de 35 mm, d'un haut-parleur de 70 mm et d'un évent bass-reflex en façade, le tout motorisé par deux amplificateurs de classe D (la plage de fréquences couverte et la puissance ne sont pas encore précisées). Les Symfonisk sont toutes deux dépourvues de microphone, ce qui pourra rassurer les plus inquiets, mais empêchera les interactions vocales directes.
La lampe profite quant à elle d'un volume plus important, avec un support en plastique -à la finition légèrement moins luxueuse- et une
L'enceinte/lampe mesure 216x216x401 mm pour un poids de 3,30 kg sur notre balance. La douille accueillera une ampoule E14 de 7W maximum, pas de quoi en faire l'éclairage principal d'une pièce.
Les ingénieurs ne se sont pas contentés de rhabiller le modèle étagère, les haut-parleurs utilisés sont différents (avec un tweeter légèrement plus petit, et un hp principal de 70mm) dans un boitier clos, sans évent bass-reflex.
L'installation demandera de passer par l'application Sonos (une télécommande physique et l'application Ikea pourront également prendre le contrôle par la suite), les utilisateurs des enceintes de la marque seront donc en terrain connu. La mise en place ne prendra que quelques minutes, et le programme proposera de lui-même d'appairer deux enceintes (du même modèle) en stéréo à la fin du processus.
Les enceintes seront alors disponibles en tant que dispositifs AirPlay 2, pour une utilisation autonome, ou au sein d'une écoute multiroom. Les Symfonisk sont également compatibles avec les assistants virtuels d'Amazon et de Google. Autre avantage assez intéressant, les possesseurs de Beam et du Sonos Amp pourront utiliser les Symfonisk comme enceintes arrières sans fil d'un système home cinema, les dispositifs se chargeant alors de créer une voix centrale virtuelle convaincante.
Côté audio, le but de l'association d'Ikea et de Sonos n'est pas de révolutionner le genre, mais bien de proposer à un tarif abordable des enceintes design, solides et au rendu sérieux. Et le challenge est relevé haut la main. Si les audiophiles peuvent passer de suite leur chemin (le terme
Curieusement, après quelques écoutes, les étagères sont légèrement plus convaincantes que la lampe, avec un son plus précis, des graves mieux maitrisées, moins
Quelques heures avec les enceintes nous auront permis de vérifier le bien fondé de l'alliance Ikea/Sonos. Ce dernier -ne pouvant pas risquer de ternir son image de marque avec un produit au rendu sonore décevant- accueille les Symfonisk au sein de son écosystème, avec un rendu qui sera satisfaisant pour une grande majorité d'utilisateurs, ainsi que la compatibilité AirPlay 2, Alexa et Google Assistant et la possibilité d'évoluer vers un système home cinema. Les Symfonisk seront commercialisées à partir du mois d'août 2019 aux tarifs de 99 euros pour le modèle étagère, et 179 euros pour la lampe.
Des enceintes à intégrer au décor
Le géant suédois des meubles en kit et le spécialiste de l'audio Sonos ont joint leurs efforts afin de permettre d'intégrer aux intérieurs des enceintes Wi-Fi design, et dotées d'un rendu sonore de qualité, le tout en affichant un tarif contenu et une ergonomie soignée. La gamme se compose dans un premier temps d'une enceinte étagère et d'une lampe, mais le partenariat ne s'arrêtera pas là, et de nouveaux produits Symfonisk devraient être proposés prochainement.
Les enceintes étagères pourront être posées à la verticale comme à l'horizontale (avec détection automatique de l'orientation), ou s'accrocher au mur et supporter des objets pesant jusqu'à 3 kg. Des crochets optionnels permettront de suspendre l'enceinte sur un rail, avec de pratiques languettes pour enrouler le câble d'alimentation.
Le design est épuré et la finition agréable, avec une grille détachable en tissu et un câble d'alimentation recouvert d'une gaine en nylon tressé. Le choix du plastique pour le boitier souligne l'intention d'offrir un tarif plancher, tout en conservant un rendu agréable. Le tout permettra à l'enceinte de passer inaperçue pour peu que l'on puisse en dissimuler le câble.
L'enceinte mesure 31x15x10 cm pour un poids de 2,16 kg sur la balance. Elle se décline en blanc ou en noir, avec les grilles assorties, et sera livrée avec un câble d'alimentation et un câble Ethernet, également assortis à la teinte de l'enceinte.
Côté fiche technique, l'enceinte dispose d'un tweeter, de 35 mm, d'un haut-parleur de 70 mm et d'un évent bass-reflex en façade, le tout motorisé par deux amplificateurs de classe D (la plage de fréquences couverte et la puissance ne sont pas encore précisées). Les Symfonisk sont toutes deux dépourvues de microphone, ce qui pourra rassurer les plus inquiets, mais empêchera les interactions vocales directes.
La lampe profite quant à elle d'un volume plus important, avec un support en plastique -à la finition légèrement moins luxueuse- et une
chaussettemaillée pour recouvrir le corps. La partie supérieure est en verre soufflé à la bouche arborant un aspect satiné, et le bouton pour la lumière se pare d'aluminium.
L'enceinte/lampe mesure 216x216x401 mm pour un poids de 3,30 kg sur notre balance. La douille accueillera une ampoule E14 de 7W maximum, pas de quoi en faire l'éclairage principal d'une pièce.
Les ingénieurs ne se sont pas contentés de rhabiller le modèle étagère, les haut-parleurs utilisés sont différents (avec un tweeter légèrement plus petit, et un hp principal de 70mm) dans un boitier clos, sans évent bass-reflex.
L'installation demandera de passer par l'application Sonos (une télécommande physique et l'application Ikea pourront également prendre le contrôle par la suite), les utilisateurs des enceintes de la marque seront donc en terrain connu. La mise en place ne prendra que quelques minutes, et le programme proposera de lui-même d'appairer deux enceintes (du même modèle) en stéréo à la fin du processus.
Les enceintes seront alors disponibles en tant que dispositifs AirPlay 2, pour une utilisation autonome, ou au sein d'une écoute multiroom. Les Symfonisk sont également compatibles avec les assistants virtuels d'Amazon et de Google. Autre avantage assez intéressant, les possesseurs de Beam et du Sonos Amp pourront utiliser les Symfonisk comme enceintes arrières sans fil d'un système home cinema, les dispositifs se chargeant alors de créer une voix centrale virtuelle convaincante.
Côté audio, le but de l'association d'Ikea et de Sonos n'est pas de révolutionner le genre, mais bien de proposer à un tarif abordable des enceintes design, solides et au rendu sérieux. Et le challenge est relevé haut la main. Si les audiophiles peuvent passer de suite leur chemin (le terme
sans filles aura assurément fait fuir), de nombreux foyers pourront être intéressés par ces Symfonisk, capables de diffuser tous les styles musicaux et de sonoriser une pièce de taille raisonnable, avec un niveau sonore satisfaisant, sans saturation excessive, tout en ajoutant à cela le confort d'AirPlay 2 et du multiroom.
Curieusement, après quelques écoutes, les étagères sont légèrement plus convaincantes que la lampe, avec un son plus précis, des graves mieux maitrisées, moins
flottantesque sur la lampe, certainement dû à la différence de conception (clos vs event bass-reflex et haut-parleurs différents).
Quelques heures avec les enceintes nous auront permis de vérifier le bien fondé de l'alliance Ikea/Sonos. Ce dernier -ne pouvant pas risquer de ternir son image de marque avec un produit au rendu sonore décevant- accueille les Symfonisk au sein de son écosystème, avec un rendu qui sera satisfaisant pour une grande majorité d'utilisateurs, ainsi que la compatibilité AirPlay 2, Alexa et Google Assistant et la possibilité d'évoluer vers un système home cinema. Les Symfonisk seront commercialisées à partir du mois d'août 2019 aux tarifs de 99 euros pour le modèle étagère, et 179 euros pour la lampe.