Une souris peau de pêche

Un nouveau fruit...

Dans le mail reçu pour nous prévenir de la sortie de cette nouvelle petit chose, un détail a attiré mon attention et titillé mon usine personnelle au bi-vroum neuronal. Le communiqué de presse était libellé comme ceci :

Bonjour, Nous avons le plaisir de vous annoncer la sortie des nouvelles souris PocketMouseTM Max. Et oui, la famille PocketMouseTM s'agrandit et se complète pour satisfaire tous les goûts et couleurs de chacun ! Avec un nouveau design élégant, Kensington travaille beaucoup sur les matières et les formes des souris de nouvelle génération. En l'occurrence, les Max ont une matière « peau de pêche » très agréable au toucher. A mi-chemin entre la souris de bureau et la souris compacte de voyage par sa taille intermédiaire, elle s'adapte en tous lieux pour toutes les utilisations. Existe en version sans fil

Peau de pêche ? Peau de pêche ? Agréable au toucher ? Voilà une raison nécessaire, suffisante et hautement prometteuse pour demander le produit afin d'en procéder à un test aussi assidu que tactile.

Les différents épisodes demande, envoi et réception se passent en un temps certain, mais hors de toutes embûches.

Me voici donc en présence de la petit chose.

Passons sur le contenu du paquet, une souris, deux piles, un récepteur à connecter sur un port USB de tout Mac équipé d'un port USB, un cable servant de rallonge au récepteur, et un petit sac de transport. Passons tout aussi rapidement sur le dedans de la souris, c'est du Kensington, amplement éprouvé et largement compatible avec nos Pommes.

Prenons plutôt un moment pour nous arrêter sur le dessus de la souris. Le revêtement de cette nouvelle déclinaison des PocketMouse, appellation Max de couleur noire est effectivement doux, sa texture est agréable au toucher et proche du rendu fruitier sus-cité... Nous serions même tenté de nous croire en présence d'une feutrine, voire d'un velours. Mais pour en avoir le coeur net et être définivement persuadé que l'appellation "peau de pêche" n'est point trop usurpée ou, au moins, exagérée, un test comparatif s'impose.

Pour mener à bien ce test comparatif, il me fallait un revêtement "peau de pêche" éprouvé et certifié 100% douceur du pêcher originel. J'ai donc fais appel à mon assistante Jennifer pour comparer les deux peaux de pêche en présence.

Test de la peau de pêche de Jennifer

Jennifer, je vous pris de vous avancer.

Nous allons procéder au test de la peau de pêche de Jennifer. Le toucher est effectivement doux et soyeux. les doigts glissent sans rencontrer la moindre aspérité disgracieuse. Le tout étant emplit de sensualité tactile mais, je vous le concède, bien peu utile au fonctionnement d'une Pomme.

Sans plus attendre, nous saisissons la nouvelle PocketMouse Max. Le toucher est effectivement doux et soyeux. les doigts glissent sans rencontrer la moindre aspérité disgracieuse. Le tout étant emplit de sensualité tactile et, je vous le concède, bien beaucoup utile au fonctionnement d'une Pomme.

Bref, le résultat est convaincant, et ce nouveau revêtement rempli son rôle de douceur sous les doigts les plus aguerris aux technologies les plus hargneuses. Bref, un peu de douceur dans un monde de brutes.

Conclusion

Jennifer, veuillez ne pas trop vous éloigner, le test n'est pas tout à fait terminé...

Détails techniques.

• Pour voir la PocketMouse Max wireless sur le site de Kensington, cliquez ici....
• À noter qu'une version avec fil et même revêtement existe...
• Le logiciel MouseWorks est là...

Bonus

En supplément à ce comparatif, voici des visions autant inédites qu'idylliques de cette souris. Vue de dessous sans piles :

La même vue de dessous avec piles :

Étonnant non ?

La production ne reculant devant aucun sacrifice financier et ethique, nous avons demandé à notre modèle beauté fatale de poser pour vous présenter la future collection printemps-été 2005 en matière de sac de transport de souris Kensington :

Trop bô !

MISE À JOUR 03 DÉCEMBRE

Après une petite période, et suite à l'expérience malheureuse de Patmen ci-dessous, j'ai tenté de réutiliser cette souris, si le revêtement n'a pas été affecté de cette mise à l'écart, la connexion entre la souris et le récepteur, branché sur le port USB, semble problématique. Le curseur suit les mouvements de la souris, le clic droit fait bien apparaitre un menu contextuel, mais la molette ne produit aucun effet, et Mouseworks ne la "voit" pas... Je vous tiens au courant de l'évolution des choses...

MàJ 2 : Voilà, je viens de voir ce qui se passe. Il faut absolument avoir la version 2.5.1 de MouseWorks. Vous pourrez la trouver chez VersionTracker.