IBM, à l'aube des processeurs quantiques
Par Didier Pulicani - Publié le
Finis les bits ! Place aux qubits, l'équivalent quantique des fameux
Dans les faits, IBM a déclaré n'avoir jamais été aussi proche d'une application à grande échelle. Certes, il existe des calculateurs quantiques depuis plusieurs années, mais uniquement au stade expérimental. L'intérêt est énorme, puisque ces super-ordinateurs devraient -en théorie- être capables de décupler la puissance de calcul : inutile de vous expliquer l'intérêt d'une telle chose en sciences, ou même en cryptographie. Jusqu'à présent, toute la difficulté était de pouvoir sécuriser les calculs, dont le simple changement de température ou de radiation affectait grandement la fiabilité du système.
IBM a déclaré avoir trouvé un moyen d'utiliser des technologies actuelles, pour produire des calculateurs quantiques, ce qui devrait permettre -dans un horizon proche- d'avoir une application quasi industrielle. Il reste apparemment quelques problèmes de corrections d'erreurs, sur lesquels les chercheurs américains travaillent depuis plusieurs années déjà.
Source
1et
0de nos ordinateurs actuels, dont le modèle semble en fin de vie. Avec un ordinateur quantiques, il n'y aura plus seulement deux états
On/Offmais une quasi infinité entre les deux. Voilà pour le principe général.
Dans les faits, IBM a déclaré n'avoir jamais été aussi proche d'une application à grande échelle. Certes, il existe des calculateurs quantiques depuis plusieurs années, mais uniquement au stade expérimental. L'intérêt est énorme, puisque ces super-ordinateurs devraient -en théorie- être capables de décupler la puissance de calcul : inutile de vous expliquer l'intérêt d'une telle chose en sciences, ou même en cryptographie. Jusqu'à présent, toute la difficulté était de pouvoir sécuriser les calculs, dont le simple changement de température ou de radiation affectait grandement la fiabilité du système.
IBM a déclaré avoir trouvé un moyen d'utiliser des technologies actuelles, pour produire des calculateurs quantiques, ce qui devrait permettre -dans un horizon proche- d'avoir une application quasi industrielle. Il reste apparemment quelques problèmes de corrections d'erreurs, sur lesquels les chercheurs américains travaillent depuis plusieurs années déjà.
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