Tesla "n'a pas besoin de service de presse", d'après l'ancienne PR du Macintosh
Par Didier Pulicani - Publié le
Récemment, Tesla a dissout son service de presse, un événement plutôt exceptionnel pour une entreprise américaine de cette taille.
Tesla n'a cependant pas abandonné toute idée de communication, mais le société se base plus volontiers sur son site internet, des keynotes et des influenceurs, chargés de prêcher la bonne parole. Voilà une description qui colle assez bien avec celle d'Apple ces dernières années, elle qui sélectionne quelques médias et youtubers acquis à sa cause, et rarement critiques sur les produits.
Mais ce choix cornélien ne semble pas vraiment du goût des actionnaires, qui aimeraient relancer la machine. Ils ont donc sollicité Andrea "Andy" Cunningham, l'ancienne bras-droit de Steve Jobs, celle-là même qui avait aidé le CEO d'Apple à lancer le Macintosh en 1984 pour avoir son avis. Et cette dernière de rétorquer qu'Elon Musk
Selon elle, même des sociétés comme Tesla qui n'ont pas de relation directe avec la presse, ont quand-même besoin des médias. La
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Tesla n'a cependant pas abandonné toute idée de communication, mais le société se base plus volontiers sur son site internet, des keynotes et des influenceurs, chargés de prêcher la bonne parole. Voilà une description qui colle assez bien avec celle d'Apple ces dernières années, elle qui sélectionne quelques médias et youtubers acquis à sa cause, et rarement critiques sur les produits.
Mais ce choix cornélien ne semble pas vraiment du goût des actionnaires, qui aimeraient relancer la machine. Ils ont donc sollicité Andrea "Andy" Cunningham, l'ancienne bras-droit de Steve Jobs, celle-là même qui avait aidé le CEO d'Apple à lancer le Macintosh en 1984 pour avoir son avis. Et cette dernière de rétorquer qu'Elon Musk
souhaite rester lui-mêmeet
ne désire pas être managé. En clair, laissez-le tweetter !
Selon elle, même des sociétés comme Tesla qui n'ont pas de relation directe avec la presse, ont quand-même besoin des médias. La
communicationressemble désormais plutôt à de la publicité : si une firme sait gérer son
empreinte socialesur le web, les journalistes ont plutôt tendance à suivre la tendance
Nous avons tellement plus de contrôle sur nos messages qu'à l'époque de Steve Jobsconclut-elle.
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