Google veut aussi traduire les conversations en temps réel
Par Laura Tibourcio de la Corre - Publié le
Après Skype, c'est au tour de la firme de Mountain View de se lancer dans l'aventure et d'annoncer une mise à jour de son application Google Traduction
Alors que l'application propose pour le moment de traduire de nombreuses langues à l'écrit et d'entendre la prononciation de ces textes dans quelques langues populaires, cette mise à jour (qui sera vraisemblablement d'abord disponible sur Android), permettra de reconnaître automatiquement si une personne parle l'une de ces langues courantes, et de fournir une traduction automatique.
Alors que Kim Dotcom a largement pointé du doigt les portes dérobées laissées par des services comme Skype pour le gouvernement américain, Google se veut rassurante concernant sur la façon dont elle va gérer les traductions, notamment pour des questions de sécurité lorsque la voix est utilisée pour de la reconnaissance biométrique. Skype de son côté s'est défendue en affirmant que les conversations étaient divisées dans différents fichiers :
à venir.
Alors que l'application propose pour le moment de traduire de nombreuses langues à l'écrit et d'entendre la prononciation de ces textes dans quelques langues populaires, cette mise à jour (qui sera vraisemblablement d'abord disponible sur Android), permettra de reconnaître automatiquement si une personne parle l'une de ces langues courantes, et de fournir une traduction automatique.
Nous avons 500 millions d'utilisateurs actifs sur Google Traduction chaque mois sur toutes les plateformesaffirme Macduff Hughes, directeur de la division, qui précise qu'aujourd'hui, la question de la langue est devenue majeure sur le web étant donné que 80 à 90% du contenu est disponible dans 10 langues. L'entreprise pourrait également dévoiler un service qui permettrait à ses utilisateurs de traduire automatiquement des panneaux de circulation.
Alors que Kim Dotcom a largement pointé du doigt les portes dérobées laissées par des services comme Skype pour le gouvernement américain, Google se veut rassurante concernant sur la façon dont elle va gérer les traductions, notamment pour des questions de sécurité lorsque la voix est utilisée pour de la reconnaissance biométrique. Skype de son côté s'est défendue en affirmant que les conversations étaient divisées dans différents fichiers :
il n'y a aucun moyen de savoir qui a dit quoiaffirme Olivier Fontana, directeur marketing de l'entreprise.
La NSA ne pourrait rien en tirer.