Faire des rencontres avant de s'envoyer en l'air (dans un avion)
Par Laura Tibourcio de la Corre - Publié le
Si on s'en tient à l'image que les créateurs de Skycheckin: The Social Network for Travelers veulent lui donner, ce n'est pas une application de rencontre. Elle se contente de mettre en relation des inconnus avant qu'ils ne prennent un vol au même moment, dans un même aéroport.
On vous parlait début février de Wingman, une application qui se présentait comme le Tinder des cieux et visait à mettre en relation les passagers d'un vol pour qu'ils fassent connaissent, et plus si affinités. Son créateur Gabe Whaley craignait cependant que son application ne passe pas la validation des lutins d'Apple, c'est peut-être pour cela que les créateurs de Skychekin tiennent à se démarquer des sites de rencontre :
Les utilisateurs de Skycheckin: The Social Network for Travelers pourront donc renseigner leur futur vol dans l'application et recevoir une liste des passagers qui embarqueront dans le même aéroport dans un intervalle de 2 heures. Libre à eux de faire ce qu'ils veulent par la suite.
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On vous parlait début février de Wingman, une application qui se présentait comme le Tinder des cieux et visait à mettre en relation les passagers d'un vol pour qu'ils fassent connaissent, et plus si affinités. Son créateur Gabe Whaley craignait cependant que son application ne passe pas la validation des lutins d'Apple, c'est peut-être pour cela que les créateurs de Skychekin tiennent à se démarquer des sites de rencontre :
on aimerait en faire une sorte de Airbnb avec une communauté de voyageurs réguliers qui se font mutuellement confiance et échangent des conseils utiles, par exemple au cas où ils ratent l'avion dans un aéroport méconnuaffirment-ils.
Les utilisateurs de Skycheckin: The Social Network for Travelers pourront donc renseigner leur futur vol dans l'application et recevoir une liste des passagers qui embarqueront dans le même aéroport dans un intervalle de 2 heures. Libre à eux de faire ce qu'ils veulent par la suite.
On pensait au début plutôt en faire quelque chose de fun, mais on s'est rendu compte que beaucoup d'hommes d'affaires voulait s'en servir comme d'un petit LinkedIn pour les airs, affirme Charly Wa, un courtier français de 36 ans établi à New-York.
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