Faut-il sauver Uber Paris (et consorts) contre le lobby des taxis ?
Par Didier Pulicani - Publié le
Le lobby des taxis pourrait faire de nouvelles victimes parmi les chauffeurs privés. En tête de liste, la société Uber : Commander une course, précurseur d'une nouvelle façon de se faire tansporter dans Paris grâce à une prise de rendez-vous directement depuis son iPhone.
Pierre-Dimitri, Directeur France d'Uber, a décidé d'alerter ses utilisateurs sur son blog, en leur demandant de signer une pétition pour faire changer le projet de loi à venir sur la réglementation de la profession. Principal problème, le délais de 15 minutes requis entre la commande du service et l'arrivée du véhicule.
Les parisiens qui nous lisent savent à quel point il est difficile de trouver un taxi à certaines périodes de la semaine. Dans ces moments là, il est souvent plus aisé d'appeler un chauffeur privé (ou de se rabattre sur un Velib). Et aux périodes creuses, c'est souvent le contraire : les chauffeurs préfèrent aller pointer aux aéroports que de desservir le centre de Paris. Côté taxis, on se plaint toutefois d'une concurrence frontale, déloyale, difficile à contrer et mettant en dangers une profession parmi les plus réglementée de France (où il est souvent plus simple d'ouvrir une boucherie que d'obtenir une plaque de Taxi).
Et vous, qu'en pensez-vous ?
http://blog.uber.com/SauvonsUberParis
Pierre-Dimitri, Directeur France d'Uber, a décidé d'alerter ses utilisateurs sur son blog, en leur demandant de signer une pétition pour faire changer le projet de loi à venir sur la réglementation de la profession. Principal problème, le délais de 15 minutes requis entre la commande du service et l'arrivée du véhicule.
Si une voiture se présente en 5 minutes, une telle mesure vous imposerait d’attendre 10 minutes debout devant le véhicule avant de pouvoir légalement monter à bord. Ne pas respecter ce délai de 15 minutes constituerait une infraction.
Les parisiens qui nous lisent savent à quel point il est difficile de trouver un taxi à certaines périodes de la semaine. Dans ces moments là, il est souvent plus aisé d'appeler un chauffeur privé (ou de se rabattre sur un Velib). Et aux périodes creuses, c'est souvent le contraire : les chauffeurs préfèrent aller pointer aux aéroports que de desservir le centre de Paris. Côté taxis, on se plaint toutefois d'une concurrence frontale, déloyale, difficile à contrer et mettant en dangers une profession parmi les plus réglementée de France (où il est souvent plus simple d'ouvrir une boucherie que d'obtenir une plaque de Taxi).
Et vous, qu'en pensez-vous ?
http://blog.uber.com/SauvonsUberParis