Epic amoureux de l'iPad 2 et abandonne Android
Par Didier Pulicani - Publié le
Epic vantait les louanges d'iOS et de son modèle économique en début d'année. L'éditeur en remet une couche dans une interview donnée à Gizmodo hier, où il explique pourquoi la plateforme d'Apple est très intéressante pour y développer ses jeux.
En début d'interview, Tim Sweeney se dit très impressionné.
En fin d'interview, le programmeur taille de l'Android à la machette. On y apprend que Infinity Blade ne sortira sans doute pas sur cette plateforme. En cause ? Le manque de mémoire -dont il accuse les surcouches opérateur de se gaver- et surtout le manque d'homogénéité dans les appareils.
En début d'interview, Tim Sweeney se dit très impressionné.
Je crois certainement qu'on parle bien d'un facteur 9, lorsqu'on l'interroge sur l'iPad 2 et de ses possibilités graphiques face à la version 1.
Dans les consoles, vous augmentez d'un facteur 10 ou 20 tous les 7-8 ans [...] Alors que chez Apple, pouvoir faire du x 9 en 1 an, est carrément dingue [...] !. Pour Sweeney, l'iPhone 3G n'était pas encore au niveau, pas plus que ne l'est la 3DS de Nintendo, tandis que l'iPhone 4 se rapproche
d'un coeur de XBox 360. Rien que ça ! Très exigeant dans ses plateforme, Epic place apparemment la barre très haute techniquement, et s'intéresse d'autant plus à l'iPad 2 et à la NGP qu'aux SmartPhone pauvres en RAM de ces dernières années.
En fin d'interview, le programmeur taille de l'Android à la machette. On y apprend que Infinity Blade ne sortira sans doute pas sur cette plateforme. En cause ? Le manque de mémoire -dont il accuse les surcouches opérateur de se gaver- et surtout le manque d'homogénéité dans les appareils.
Google doit jouer un peu plus au diable, faisant référence à Apple ou Microsoft, dont les spécifications de l'OS et des composants est imposé et ou les processus en tâche de fond sont mieux contrôlés. On apprend tout de même que si l'éditeur se désintéresse d'Android, c'est avant tout pour des raisons financières.
C'est beaucoup plus rentabledéclare Tim, qui clôt ainsi le débat.