Des puces gravées en 2nm pour l'iPhone 17 Pro ( et 1,4nm dès 2027) !
Par June Cantillon - Publié le
La course à l'armement dans le secteur de la technologie n'a pas de fin. Après les puces en 3nm fraichement arrivées, TSMC, le fournisseur taïwanais d'Apple, évoque déjà les évolutions à venir.
Alors que les puces A17 Pro, M3, M3 Pro et M3 Max gravées en 3nm sont encore chaudes, TSMC, la firme taïwanaise fournissant les puces de Cupertino, est déjà sur la brèche pour préparer l'avenir, et maintenir sa position de leader de l'industrie. Selon les plans du fondeur, le nœud de gravure en 3nm serait à nouveau de la partie l'année prochaine dans une version modifiée (passant de la technologie de gravure N3B à N3E) pour les puces A18 des iPhone 16 Pro (oui, il faut suivre).
Pour la suite, TSMC passerait au nœud de gravure en 2nm dès 2025 pour les puces A19 des iPhone 17 Pro (je vous avais prévenu et ce n'est pas terminé) grâce au processus de gravure N2, qui évoluerait en N2P (toujours en 2nm donc) l'année suivante pour l'A20 des iPhone 18 Pro. L'étape suivante pour la finesse de gravure serait le 1,4nm (avec un processus cette fois nommé A14, car pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué), que TSMC prévoit de lancer dès 2027, à temps pour les iPhone 19 Pro.
Comme nous avons pu le voir avec les puces A17 Pro et celles de la gamme M3 gravées en 3nm, chaque évolution de la finesse de gravure demande de trouver le juste équilibre entre plus de puissance et une consommation mieux maitrisée. Certaines évolutions étant plus drastiques que d'autres, en fonction de la maîtrise du processus couplée aux progrès de l'architecture en elle-même.
A chaque évolution, il faut également répondre aux exigences du marketing, qui ne saurait accepter (et surtout vendre) des puces nettement moins énergivores d'une année sur l'autre, mais avec des performances qui stagnent. Enfin, les prévisions de TSMC peuvent tout à fait être chamboulées, que ce soit par des difficultés de mise en place de la technologie, des machines de productions qui tardent à être livrées, un rendement trop faible pour être rentable, ou encore, au hasard, une crise sanitaire mondiale.
Des puces en 2nm pour l'iPhone 17 Pro
Alors que les puces A17 Pro, M3, M3 Pro et M3 Max gravées en 3nm sont encore chaudes, TSMC, la firme taïwanaise fournissant les puces de Cupertino, est déjà sur la brèche pour préparer l'avenir, et maintenir sa position de leader de l'industrie. Selon les plans du fondeur, le nœud de gravure en 3nm serait à nouveau de la partie l'année prochaine dans une version modifiée (passant de la technologie de gravure N3B à N3E) pour les puces A18 des iPhone 16 Pro (oui, il faut suivre).
Pour la suite, TSMC passerait au nœud de gravure en 2nm dès 2025 pour les puces A19 des iPhone 17 Pro (je vous avais prévenu et ce n'est pas terminé) grâce au processus de gravure N2, qui évoluerait en N2P (toujours en 2nm donc) l'année suivante pour l'A20 des iPhone 18 Pro. L'étape suivante pour la finesse de gravure serait le 1,4nm (avec un processus cette fois nommé A14, car pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué), que TSMC prévoit de lancer dès 2027, à temps pour les iPhone 19 Pro.
Plus de transistors, plus de puissance, moins de consommation
Comme nous avons pu le voir avec les puces A17 Pro et celles de la gamme M3 gravées en 3nm, chaque évolution de la finesse de gravure demande de trouver le juste équilibre entre plus de puissance et une consommation mieux maitrisée. Certaines évolutions étant plus drastiques que d'autres, en fonction de la maîtrise du processus couplée aux progrès de l'architecture en elle-même.
A chaque évolution, il faut également répondre aux exigences du marketing, qui ne saurait accepter (et surtout vendre) des puces nettement moins énergivores d'une année sur l'autre, mais avec des performances qui stagnent. Enfin, les prévisions de TSMC peuvent tout à fait être chamboulées, que ce soit par des difficultés de mise en place de la technologie, des machines de productions qui tardent à être livrées, un rendement trop faible pour être rentable, ou encore, au hasard, une crise sanitaire mondiale.