App Store : 13% des apps n’auraient pas encore de politique de confidentialité
Par Laurence - Publié le
L’été étant propice aux quiz et aux études en tout genre, la société de sécurité Pixelate vient de publier un nouveau rapport dédié aux magasins d'applications. Pour cela, elle aurait analysé plus de 5 millions d'applications actives sur l'App Store et le Google Play Store au premier trimestre 2022.
De nombreuses applications manqueraient d'informations sur la confidentialité ! Au total, il y aurait 787 000 applications sans politique de confidentialité (dont 98% dénuées de CGU). Cela représenterait 17 % des applications actives sur le marché des applications de Google et 13 % des applications de l'App Store.
Mais le rapport omet une donnée. En effet, Apple exige des politiques de confidentialité pour les mises à jour des applications. Si une application n'a pas été mise à jour depuis un certain temps, elle figurera toujours sur l'App Store mais sans politique de confidentialité. Et, il serait probable que de nombreuses applications aient été abandonnées / ne soient plus mises à jour. Effectivement, un développeur pourrait refuser d'updater son app pour se soustraire à cette obligation, mais cela ferait plutôt office d'exception que de véritable tendance.
De nombreuses applications manqueraient d'informations sur la confidentialité ! Au total, il y aurait 787 000 applications sans politique de confidentialité (dont 98% dénuées de CGU). Cela représenterait 17 % des applications actives sur le marché des applications de Google et 13 % des applications de l'App Store.
Mais le rapport omet une donnée. En effet, Apple exige des politiques de confidentialité pour les mises à jour des applications. Si une application n'a pas été mise à jour depuis un certain temps, elle figurera toujours sur l'App Store mais sans politique de confidentialité. Et, il serait probable que de nombreuses applications aient été abandonnées / ne soient plus mises à jour. Effectivement, un développeur pourrait refuser d'updater son app pour se soustraire à cette obligation, mais cela ferait plutôt office d'exception que de véritable tendance.