Un robot capable de recycler n'importe quel smartphone en approche ?
Par June Cantillon - Publié le
Plusieurs entités américaines planchent sur l'élaboration d'un robot capable de démonter et de recycler n'importe quel smartphone.
En 2016, Apple présentait son robot Liam, puis son évolution nommée cette fois Daisy en 2018. La technologie embarquée permettrait selon Cupertino de désassembler et de récupérer les batteries et matériaux rares au sein de plusieurs modèles (9 à l'époque) d'iPhone différents à une cadence de 200 unités par jour. Si cette chaine robotisée de démontage et de tri existe bel et bien, difficile de savoir combien sont actuellement en fonctionnement, et combien d'iPhone ont ainsi été recyclés.
Un nouveau projet américain pourrait aboutir à l'élaboration d'une machine comparable mais capable grâce, entre autres, aux algorithmes d'apprentissage automatique de s'attaquer à de nombreux modèles de smartphones, quel que soit le constructeur. Le département américain de l'énergie a ainsi donné un coup de pouce au projet en allouant 445 000 dollars à des chercheurs du laboratoire national de l'Idaho, de l'université de Buffalo, de l'université de l'Iowa, ainsi qu'à l'entreprise spécialiste du recyclage Sunnking.
L'étude commune pourrait permettre d'ici deux ans de disposer d'une machine et du logiciel adéquat afin d'améliorer grandement la capacité de recyclage des nombreux smartphones mis au rebut chaque année. Selon Neal Yancey, chapeautant le projet,
En 2016, Apple présentait son robot Liam, puis son évolution nommée cette fois Daisy en 2018. La technologie embarquée permettrait selon Cupertino de désassembler et de récupérer les batteries et matériaux rares au sein de plusieurs modèles (9 à l'époque) d'iPhone différents à une cadence de 200 unités par jour. Si cette chaine robotisée de démontage et de tri existe bel et bien, difficile de savoir combien sont actuellement en fonctionnement, et combien d'iPhone ont ainsi été recyclés.
Un nouveau projet américain pourrait aboutir à l'élaboration d'une machine comparable mais capable grâce, entre autres, aux algorithmes d'apprentissage automatique de s'attaquer à de nombreux modèles de smartphones, quel que soit le constructeur. Le département américain de l'énergie a ainsi donné un coup de pouce au projet en allouant 445 000 dollars à des chercheurs du laboratoire national de l'Idaho, de l'université de Buffalo, de l'université de l'Iowa, ainsi qu'à l'entreprise spécialiste du recyclage Sunnking.
L'étude commune pourrait permettre d'ici deux ans de disposer d'une machine et du logiciel adéquat afin d'améliorer grandement la capacité de recyclage des nombreux smartphones mis au rebut chaque année. Selon Neal Yancey, chapeautant le projet,
nous allons entraîner ce système à analyser les téléphones et afin d'identifier un iPhone, ou un Samsung XYZ, puis à consulter une base de données afin de pouvoir retirer les éléments à recycler.