NSO Group cherche une porte de sortie pour en finir avec Pegasus
Par Laurence - Publié le
Depuis plusieurs mois, le logiciel espion, Pegasus, a fait énormément parler de lui permettant à certains états d’espionner des journalistes, des personnalités et des militants des droits de l'homme. Depuis, son éditeur -la société NSO basée en Israël- a fait face à de nombreuses critiques voire des enquêtes officielles dont certaines émanant des gouvernements israélien et américain.
Mais pour couper court à toutes poursuites éventuelles, elle envisage à présent de suspendre ce programme. Pour cela, elle serait en discussion avec un fonds d’investissement pour refinancer voire céder son entreprise. L’arrêt ou le contrôle plus strict de Pegasus serait une des clauses de la transaction.
L’investissement pourrait se monter à quelque 200 millions de dollars afin de permettre à NSO Group de redorer un blason bien terni, devenir une société axée sur la sécurité informatique et renflouer ses caisses. En effet, depuis l’épisode Pegasus, les revenus sont en baisse de 8% depuis 2018 et l’arrêt du logiciel espion pourrait réduire de moitié ses revenus.
Mais pour couper court à toutes poursuites éventuelles, elle envisage à présent de suspendre ce programme. Pour cela, elle serait en discussion avec un fonds d’investissement pour refinancer voire céder son entreprise. L’arrêt ou le contrôle plus strict de Pegasus serait une des clauses de la transaction.
L’investissement pourrait se monter à quelque 200 millions de dollars afin de permettre à NSO Group de redorer un blason bien terni, devenir une société axée sur la sécurité informatique et renflouer ses caisses. En effet, depuis l’épisode Pegasus, les revenus sont en baisse de 8% depuis 2018 et l’arrêt du logiciel espion pourrait réduire de moitié ses revenus.