TSMC se battra pour sauver l'iPhone de l'interdiction de vente en Allemagne
Par Laurence - Publié le
Hier, on découvrait une vaste procédure menée par la société Global Foundries contre TSMC, appelant plusieurs firmes à la cause, dont Apple. La firme soutient que certains de ses brevets ont été enfreint par le Taïwanais, dans des processus de fabrication de puces, incluant la série A produite pour les iPhone et iPad. Le risque n'est pas négligeable puisque les deux produits pourraient être interdit de vente aux USA et en Europe -un scénario qu'Apple a déjà vécu dans son contentieux avec Qualcomm.
TSMC répond aujourd'hui de manière officielle en indiquant examiner les plaintes. Mais il se dit confiant, et estime que
Rappelons que des dossiers ont été déposés devant l’US International Trade Commission (ITC), les tribunaux fédéraux américains des districts du Delaware et du Western District du Texas mais également les tribunaux régionaux de Düsseldorf et de Mannheim en Allemagne. Le but serait d’obtenir la suspension -voire l’interdiction- de certain appareils importés aux États-Unis et en Allemagne. Pour certains d’entre eux, on retrouve sur le banc des accusés -outre Apple- Qualcomm, Mediatek ou encore Nvidia. Pour d’autres, la liste comprend Cisco, Google, Lenovo ou encore Motorola.
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TSMC répond aujourd'hui de manière officielle en indiquant examiner les plaintes. Mais il se dit confiant, et estime que
les allégations de Global Foundries sont sans fondement. Comme on pouvait s'y attendre, la firme se dit
déçue de voir [cette société] recourir à des poursuites, au lieu d'être un concurrent sur le marché. Il se veut aussi rassurant vis-à-vis de ses partenaires (Apple ?), affirmant son intention de se
battre vigoureusement, en utilisant toutes les options possibles, pour protéger nos technologies propriétaires.
Rappelons que des dossiers ont été déposés devant l’US International Trade Commission (ITC), les tribunaux fédéraux américains des districts du Delaware et du Western District du Texas mais également les tribunaux régionaux de Düsseldorf et de Mannheim en Allemagne. Le but serait d’obtenir la suspension -voire l’interdiction- de certain appareils importés aux États-Unis et en Allemagne. Pour certains d’entre eux, on retrouve sur le banc des accusés -outre Apple- Qualcomm, Mediatek ou encore Nvidia. Pour d’autres, la liste comprend Cisco, Google, Lenovo ou encore Motorola.
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