#BatteryGate : Apple poursuivie pour comportement "malveillant, oppressant et méprisable"
Par Laurence - Publié le
Après plusieurs semaines de silence sur la question, il semblerait que les choses bougent à nouveau du côté du battery gate. Un client de New-York vient de déposer une plainte contre Apple (directement devant un Tribunal de San Jose en Californie). Et il ne mâche pas ses mots puisqu'il reproche à la firme d’avoir agi de manière volontaire, malveillante, oppressante et méprisable (ouch), en provoquant ainsi le ralentissement des iPhone. Agissant seul, il ne demande que 75 000 dollars à Cupertino -les actions se chiffrant davantage en millions.
Dans sa plainte, M. Jay Brodsky indique qu’
Rappelons qu’en France, le dossier -sous l'initiative de l'association Hop- suit son cours et il n'y pas de nouvelles informations. Rappelons qu'Apple est sous le coup d'une enquête préliminaire sur l'Hexagone, risquant -contrairement aux USA- des poursuites pénales pour obsolescence programmée, un délit défini par l'article L441-2 du Code de la consommation.
Source
Dans sa plainte, M. Jay Brodsky indique qu’
Apple n’a pas veillé à la fabrication, à la distribution, à la conception, à la vente et aux tests des iPhone. […] Elle n’a pas réussi à fournir d'informations adéquates en cas de défaillance d'un composant, entraînant ainsi un ralentissement considérable des performances, des appels interrompus et un dysfonctionnement excessif de la batterie […] Elle a omis d'apporter des corrections adaptées aux iPhone afin de palier les défaillances. Il n'y a là, rien de très nouveau, si ce n'est une certaine rancœur dans la rédaction du recours, sous-entendant presque une véritable volonté de nuire de la part de Cupertino.
Rappelons qu’en France, le dossier -sous l'initiative de l'association Hop- suit son cours et il n'y pas de nouvelles informations. Rappelons qu'Apple est sous le coup d'une enquête préliminaire sur l'Hexagone, risquant -contrairement aux USA- des poursuites pénales pour obsolescence programmée, un délit défini par l'article L441-2 du Code de la consommation.
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