iPhone : pour le FBI, quel équilibre entre sécurité et confidentialité ?
Par Laurence - Publié le
Depuis l'an dernier, le refus d'Apple de débloquer l'iPhone du tireur de San Bernardino continue de soulever la polémique. Aujourd'hui, c'est au tout du chef du FBI, Christopher Wray, de s'exprimer sur le sujet et, plus globalement, sur les nouveaux problèmes des smartphones.
Ainsi, un nouveau rapport de l'Associated Press dévoile que le FBI a été incapable d'accéder aux données sur plus de 6 900 appareils mobiles au cours des 11 derniers mois, soit plus de la moitié des appareils saisis. Bien que le pourcentage d'iPhone ou des iPad n'a pas été communiqué, cela représente un
Ce dernier précise que cette situation
Bien évidemment, le FBI ne dévoile pas les moyens mis en œuvre afin d'essayer d'accéder aux appareils en question, mais Donald Trump a publiquement -et à plusieurs reprises- appelé Apple à travailler avec le FBI. Par le passé, l'actuel occupant de la Maison Blanche a même carrément menacer de boycotter les produits de Cupertino en cas de refus de l'entreprise. Tim Cook, quant à lui, a depuis qualifié la création d'un outil de déverrouillage d'
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Ainsi, un nouveau rapport de l'Associated Press dévoile que le FBI a été incapable d'accéder aux données sur plus de 6 900 appareils mobiles au cours des 11 derniers mois, soit plus de la moitié des appareils saisis. Bien que le pourcentage d'iPhone ou des iPad n'a pas été communiqué, cela représente un
énorme, énorme problèmepour le patron du Bureau.
Image © The Atlantic
Ce dernier précise que cette situation
a un impact sur toutes les enquêtes, qu'il s'agisse de stupéfiants, de trafic d'êtres humains, de contre-terrorisme, d'espionnage, de gangs, de crime organisé ou d'exploitation des enfants.Il poursuit en expliquant qu'
un équilibre doit être trouvé entre le cryptage et l'importance de fournir les outils dont nous avons besoin pour assurer la sécurité publique. Les menaces auxquelles nous sommes confrontées continuent de s'accumuler. Elles sont complexes et variées.
Bien évidemment, le FBI ne dévoile pas les moyens mis en œuvre afin d'essayer d'accéder aux appareils en question, mais Donald Trump a publiquement -et à plusieurs reprises- appelé Apple à travailler avec le FBI. Par le passé, l'actuel occupant de la Maison Blanche a même carrément menacer de boycotter les produits de Cupertino en cas de refus de l'entreprise. Tim Cook, quant à lui, a depuis qualifié la création d'un outil de déverrouillage d'
équivalent logiciel du cancer.
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