Apple confirme son opposition au droit à la réparation (des iPhone)
Par Laurence - Publié le
Depuis quelques semaines, il est question d'un « droit à la réparation » pour les appareils électroniques, qui concernerait également l'iPhone. Apple, qui n'est pas favorable au projet dit
Lydia Brasch, Sénatrice à l'initiative de ce texte, a également confirmé avoir rencontré le représentant d'Apple (Steve Kester). Ce dernier s'est entretenu avec elle sur les pièges de ce droit éventuel. Plus précisément, il craint que le Nebraska ne devienne une
Les arguments ont également été présentés dans une lettre officielle émanant de plusieurs groupes d'intérêt -comme CompTIA, the Consumer Technology Association ou lthe Information Technology Industry Counci- qui représentent notamment Apple, Microsoft, Google, Samsung, Nintendo ou Sony.
Les partisans du droit soutiennent que l'ouverture du marché des réparations donnerait aux consommateurs plus de choix et réduirait ainsi les coûts, notamment dans les régions isolées de l'état. Les autres entreprises tech s'opposent sans surprise à ce projet, expliquant qu'une telle législation exposerait les secrets de l'industrie et pourrait créer des problèmes de sécurité.
À la fin de l'audience de jeudi, il a été conclu que le LB67 ne devrait pas être examiné cette année, invoquant des problématiques inhérentes à l'adoption d'une nouvelle loi. Pour autant, la même situation devrait se répéter dans les états de l'Illinois, du Kansas, du Massachusetts, du Minnesota, de New York, du Tennessee et du Wyoming où d'autres projets similaires ont été déposés.
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LB67, a envoyé hier une délégation dans le Nebraska, pour s'opposer officiellement à son adoption.
Lydia Brasch, Sénatrice à l'initiative de ce texte, a également confirmé avoir rencontré le représentant d'Apple (Steve Kester). Ce dernier s'est entretenu avec elle sur les pièges de ce droit éventuel. Plus précisément, il craint que le Nebraska ne devienne une
Mecque pour les intervenants mal-intentionnésen cas d'adoption des normes. La nouvelle législation pourrait librement fournir aux pirates informatiques et personnes malhonnêtes, l'accès matériel aux produits Apple.
Les arguments ont également été présentés dans une lettre officielle émanant de plusieurs groupes d'intérêt -comme CompTIA, the Consumer Technology Association ou lthe Information Technology Industry Counci- qui représentent notamment Apple, Microsoft, Google, Samsung, Nintendo ou Sony.
Photo: Warren R.M. Stuart/Flickr CC
Les partisans du droit soutiennent que l'ouverture du marché des réparations donnerait aux consommateurs plus de choix et réduirait ainsi les coûts, notamment dans les régions isolées de l'état. Les autres entreprises tech s'opposent sans surprise à ce projet, expliquant qu'une telle législation exposerait les secrets de l'industrie et pourrait créer des problèmes de sécurité.
À la fin de l'audience de jeudi, il a été conclu que le LB67 ne devrait pas être examiné cette année, invoquant des problématiques inhérentes à l'adoption d'une nouvelle loi. Pour autant, la même situation devrait se répéter dans les états de l'Illinois, du Kansas, du Massachusetts, du Minnesota, de New York, du Tennessee et du Wyoming où d'autres projets similaires ont été déposés.
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