Vault 7 : deux obstacles à la sécurisation des iPhone
Par Laurence - Publié le
Après les révélations de Wikileaks concernant Vault 7 et les outils d'espionnage potentiel de la CIA, le Wall Street Journal rapporte que les ingénieurs d'Apple travailleraient pour faire face aux failles restantes concernant iOS.
Toutefois, deux grandes difficultés pratiques se heurtent à la résolution des problèmes, la première étant l'absence d'accès à l'archive elle-même (et aux codes utilisés). En effet, cette dernière est a priori détenue par Wikileaks et naturellement par la CIA.
La seconde est que les vulnérabilités décrites à ce jour pourraient n'être que la partie émergée de l'iceberg. En effet, Wikileaks prétend que les 8 761 documents publiés ne représenteraient que 1% des fichiers existants -sans préciser s'ils sont en sa possession- mais cela sous-entendrait l'existence de nombreux autres points vulnérables.
Cette situation d'incertitude contribue à nourrir un climat de suspicion et d'inquiétude sur la sécurité des objets. Mardi matin, Apple déclarait que bon nombre des failles décrites avaient déjà été corrigées, mais ne donnait aucune indication du pourcentage même approximatif. D'autres entreprises tech ont elles aussi communiqué en ce sens comme Google ou Cisco.
Source
Toutefois, deux grandes difficultés pratiques se heurtent à la résolution des problèmes, la première étant l'absence d'accès à l'archive elle-même (et aux codes utilisés). En effet, cette dernière est a priori détenue par Wikileaks et naturellement par la CIA.
Image reuters
La seconde est que les vulnérabilités décrites à ce jour pourraient n'être que la partie émergée de l'iceberg. En effet, Wikileaks prétend que les 8 761 documents publiés ne représenteraient que 1% des fichiers existants -sans préciser s'ils sont en sa possession- mais cela sous-entendrait l'existence de nombreux autres points vulnérables.
Cette situation d'incertitude contribue à nourrir un climat de suspicion et d'inquiétude sur la sécurité des objets. Mardi matin, Apple déclarait que bon nombre des failles décrites avaient déjà été corrigées, mais ne donnait aucune indication du pourcentage même approximatif. D'autres entreprises tech ont elles aussi communiqué en ce sens comme Google ou Cisco.
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