Insolite : un filtre imparable pour que personne ne puisse voir l'écran de son iPhone
Par Arthur de la Brosse - Publié le
Les transports en commun sont sans doute le pire endroit pour recevoir une photo coquine de sa moitié, les regards curieux étant souvent attirés par les petits écrans d'autres voyageurs.
Un inventeur turc a peut-être trouvé une solution imparable pour permettre enfin à quiconque de profiter en toute tranquillité de ses appareils électroniques, sans avoir à se soucier de ses voisins de strapontin.
Celal Goger a en effet mis au point un filtre de nouvelle génération à coller sur l'écran de son smartphone, lequel ne peut alors être consulté que par le porteur d'une paire de lunettes spéciale. Pour les autres, la dalle restera désespérément blanche.
Chaque paire de lunettes est équipée d'une puce électronique programmée pour le filtre qui l'accompagne, impossible donc de s'en procurer un exemplaire en vue d'espionner ses compagnons de voyage.
Celal Goger explique que la fabrication du premier exemplaire de son produit lui a demandé six mois de travail, contre quatre mois pour le suivant et deux mois pour le troisième. Désormais, l'opération ne lui prend plus que 10 jours, et l'inventeur -qui termine en parallèle de sécuriser son produit avant d'envisager sa commercialisation- travaille déjà sur une nouvelle puce qui pourrait être intégrée à n'importe quelle paire de lunettes ainsi qu'à un système permettant d'activer ou de désactiver facilement le filtre.
Source
Un inventeur turc a peut-être trouvé une solution imparable pour permettre enfin à quiconque de profiter en toute tranquillité de ses appareils électroniques, sans avoir à se soucier de ses voisins de strapontin.
Celal Goger a en effet mis au point un filtre de nouvelle génération à coller sur l'écran de son smartphone, lequel ne peut alors être consulté que par le porteur d'une paire de lunettes spéciale. Pour les autres, la dalle restera désespérément blanche.
Chaque paire de lunettes est équipée d'une puce électronique programmée pour le filtre qui l'accompagne, impossible donc de s'en procurer un exemplaire en vue d'espionner ses compagnons de voyage.
Celal Goger explique que la fabrication du premier exemplaire de son produit lui a demandé six mois de travail, contre quatre mois pour le suivant et deux mois pour le troisième. Désormais, l'opération ne lui prend plus que 10 jours, et l'inventeur -qui termine en parallèle de sécuriser son produit avant d'envisager sa commercialisation- travaille déjà sur une nouvelle puce qui pourrait être intégrée à n'importe quelle paire de lunettes ainsi qu'à un système permettant d'activer ou de désactiver facilement le filtre.
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