Apple accepte d'analyser l'iPhone d'adolescents disparus en mer
Par Didier Pulicani - Publié le
Depuis la petite bataille autour de l'iPhone du terroriste de San Bernardino, chaque cas d'analyse d'iPhone de la part d'Apple fait les choux gras de la presse, comme c'est encore le cas ce matin.
En effet, deux adolescents de Floride avait pris la mer l'été dernier, avant d'être portés disparus en plein océan atlantique. Après huit jours de recherche, les gardes-côte ont décidé de jeter l'éponge, ne trouvant aucune trace des jeunes gens.
Mais le mois dernier, leur bateau a été retrouvé au large des Bermudes. Dedans, un iPhone 6 a été récupéré, avec très probablement quantité de données (type photos, vidéos...) de leur dernier périple. Un message SnapChat a même été envoyé à des amis juste avant le drame, preuve qu'il utilisait abondamment le téléphone. Remis à la famille des disparus, cette dernière a refusé de tenter d'accéder aux informations, craignant qu'elles ne soient détruites. Elles ont alors réclamé l'aide d'Apple, qui a accepté de mettre tous les moyens à disposition pour tenter d'extraire ce qui peut être sauvé.
On ignore cependant le niveau de protection de l'appareil (code à 4 chiffres ? destruction des données au bout de plusieurs tentatives ?) ni même s'il y a quelque chose à sauver : après avoir passé pratiquement un an dans l'eau salée, l'appareil est certainement en piteux état. Toutefois, Apple a peut-être la possibilité d'accéder à la mémoire du téléphone en direct, une procédure qu'elle avait refusée pour l'iPhone 5c de San Bernardino.
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En effet, deux adolescents de Floride avait pris la mer l'été dernier, avant d'être portés disparus en plein océan atlantique. Après huit jours de recherche, les gardes-côte ont décidé de jeter l'éponge, ne trouvant aucune trace des jeunes gens.
Mais le mois dernier, leur bateau a été retrouvé au large des Bermudes. Dedans, un iPhone 6 a été récupéré, avec très probablement quantité de données (type photos, vidéos...) de leur dernier périple. Un message SnapChat a même été envoyé à des amis juste avant le drame, preuve qu'il utilisait abondamment le téléphone. Remis à la famille des disparus, cette dernière a refusé de tenter d'accéder aux informations, craignant qu'elles ne soient détruites. Elles ont alors réclamé l'aide d'Apple, qui a accepté de mettre tous les moyens à disposition pour tenter d'extraire ce qui peut être sauvé.
On ignore cependant le niveau de protection de l'appareil (code à 4 chiffres ? destruction des données au bout de plusieurs tentatives ?) ni même s'il y a quelque chose à sauver : après avoir passé pratiquement un an dans l'eau salée, l'appareil est certainement en piteux état. Toutefois, Apple a peut-être la possibilité d'accéder à la mémoire du téléphone en direct, une procédure qu'elle avait refusée pour l'iPhone 5c de San Bernardino.
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