Apple a mis en ligne, hier, une nouvelle page autour des histoires qu'on peut raconter avec l'iPad Air, partant d'exemples concrets d'utilisations extrêmes de sa tablette. Dans la mer - avec une coque étanche - en haute montagne, en Inde, au Népal, sur les pistes de sport, il y a toujours un iPad pour accompagner les rêveurs, les poètes, les créateurs. C'est TynOw, sur Twitter, qui nous l'a signalé.
Pour son texte, la Pomme est allée piocher dans le synopsis du Cercle des Poètes disparus, l'excellent film de Peter Weir.
We don’t read and write poetry because it’s cute. We read and write poetry because we are members of the human race. And the human race is filled with passion. And medicine, law, business, engineering — these are noble pursuits and necessary to sustain life. But poetry, beauty, romance, love — these are what we stay alive for.
To quote from Whitman,
“O me, O life of the questions of these recurring. Of the endless trains of the faithless. Of cities filled with the foolish. What good amid these, O me, O life? Answer: that you are here. That life exists and identity. That the powerful play goes on, and you may contribute a verse.”
“That the powerful play goes on, and you may contribute a verse.”
Plongez dans une expérience immersive avec un écran spécialement conçu pour Mac. Chaque détail est finement reproduit, chaque nuance respectée, pour une qualité visuelle et une harmonie parfaite avec votre appareil.
