Attiré par la Silicon Valley ? Attention au revers de la médaille !
Par Arnaud Morel - Publié le
De 7 à 10 000 français habitent en Californie, dans la célèbre Silicon Valley, la plupart pour y tenter leur chance, et monter ou développer leur propre entreprise. Au menu, le soleil, la mer, les investisseurs et les ingénieurs. Tout pour plaire ? Pas forcément, note le JDD, qui rapporte les propos d'un entrepreneur français de 27 ans installé dans la
Forte concurrence dès l'étape, cruciale, de la levée de fonds pour la jeune pousse. Le rencontres entre investisseurs et porteurs de projets sont nombreuses, mais peu d'élus pour beaucoup de candidats. Des centaines de porteurs de projets, qui doivent intéresser les financiers avec des présentations de quelques minutes. L'emballage compte alors autant que le projet.
Les entrepreneurs qui réussissent cette levée de fonds sont alors, souvent, mis face à des entreprises concurrentes créées sur leur secteur d'activité. Le fourmillement tend parfois au trop plein. S'ajoutent les difficultés liées au coût de la vie, et à celui des recrutements. Un bon ingénieur, dans la
Morale de l'histoire ? On peut réussir e Californie, mais les difficultés ne doivent pas être sous-estimées. La France a un complexe d'infériorité en matière technologique. Alors que ses qualités sont fantastiques, estime Stéphane Delbecque, fondateur de la start-up Footbalistic.
Source
bay.
La Silicon Valley est devenue le Hollywood des nouvelles technologies, où chacun espère percer et connaître la gloire. L'entraide y est de façade et la compétition très violente.
Forte concurrence dès l'étape, cruciale, de la levée de fonds pour la jeune pousse. Le rencontres entre investisseurs et porteurs de projets sont nombreuses, mais peu d'élus pour beaucoup de candidats. Des centaines de porteurs de projets, qui doivent intéresser les financiers avec des présentations de quelques minutes. L'emballage compte alors autant que le projet.
Les entrepreneurs qui réussissent cette levée de fonds sont alors, souvent, mis face à des entreprises concurrentes créées sur leur secteur d'activité. Le fourmillement tend parfois au trop plein. S'ajoutent les difficultés liées au coût de la vie, et à celui des recrutements. Un bon ingénieur, dans la
valleyse rémunère a minima autour de 100 000 $ à l'année, avec une vraie volatilité des embauches.
D'autant que tout le monde a un projet de start-up dans la tête et peut vous claquer dans les doigts en un instant, pointe un
expat.
Morale de l'histoire ? On peut réussir e Californie, mais les difficultés ne doivent pas être sous-estimées. La France a un complexe d'infériorité en matière technologique. Alors que ses qualités sont fantastiques, estime Stéphane Delbecque, fondateur de la start-up Footbalistic.
Source