De l'impact de l'écran Retina pour un déficient visuel
Par Arnaud Morel - Publié le
Émouvant billet de Steven Aquino, pour Macworld, où l'homme, déficient visuel, raconte son expérience avec les écrans Retina, et l'impact de deux facteurs sur sa capacité à utiliser ses iPhone et iPad : la densité de l'écran, et sans doute encore plus, sa capacité d'émission lumineuse.
Steven ne détaille pas la nature de ses troubles visuels.
Steven insiste, ce sont bien ces deux éléments cumulés qui ont considérablement améliorés sa capacité d'utilisation des appareils. La luminosité poussée au maximum, et le niveau atteint alors sont aussi importants, pour lui, que la densité de pixels. Et impliquent une conséquence néfaste : il soumet la batterie de ses engins à une forte sollicitation, et se trimbale désormais toujours avec une batterie externe additionnelle.
Évidemment, l'expérience de Steven est toute personnelle, liée aux défauts propres à sa vue. Si vous avez d'autres expériences à partager sur le sujet, nos réactions vous tendent les bras.
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Steven ne détaille pas la nature de ses troubles visuels.
Ma vue est telle que je vois des "pixels" naturellement, ce qui veut dire que tout ce que je vois est flou. Et même si aucun écran Retina d'aucune sorte ne pourra faire disparaitre ce flou, il peut aider à le réduire énormément. Le paradoxe n'est qu'apparent : si je vois moins bien, je ne dois pas utiliser un mauvais écran, peu défini, mais, au contraire un meilleur écran, le plus précis et lumineux possible.
j'ai utilisé le premier iPhone, et le premier iPad avec succès, en poussant leur luminosité au maximum, mais lorsque que j'ai vu l'écran de mon iPhone 4, il a, parfois littéralement, totalement changé les choses. C'est le combinaison du puissant système de rétro-éclairage LED et de la forte densité de pixels qui font toute la différence. Soudain, même les textes écrits petits étaient lisibles, et j'étais capable de voir des détails dans mes images que je n'avais jamais vu auparavant, explique-t-il.
Steven insiste, ce sont bien ces deux éléments cumulés qui ont considérablement améliorés sa capacité d'utilisation des appareils. La luminosité poussée au maximum, et le niveau atteint alors sont aussi importants, pour lui, que la densité de pixels. Et impliquent une conséquence néfaste : il soumet la batterie de ses engins à une forte sollicitation, et se trimbale désormais toujours avec une batterie externe additionnelle.
Évidemment, l'expérience de Steven est toute personnelle, liée aux défauts propres à sa vue. Si vous avez d'autres expériences à partager sur le sujet, nos réactions vous tendent les bras.
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