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Ce que Mac4Ever aime et déteste de l'iPad

Par La Rédaction - Publié le

La lancement, hier, de l'iPad suscite, bien sûr, un torrent de réactions. Celles-ci sont d'ailleurs souvent tranchées et se répartissent en deux grandes catégories.

La première : l'iPad n'est qu'un gros iPod touch, avec toutes ses limitations. Pas de multitâches, pas de système de fichier visible et le besoin d'un autre ordinateur pour la synchronisation. Et une liberté surveillée : l'iPad se fournira a priori uniquement sur l'App Store pour s'alimenter en logiciels, en e-books etc... Typiquement, ce type de réactions émane des "power users".

Pour les autres, au contraire, l'iPad est une véritable révolution dont la portée n'est pas encore pleinement saisissable. Comme pour l'iPhone, on peut s'attendre à un déchaînement des programmeurs pour explorer les potentialités d'un tel objet. Les démonstrations d'iWork en donnent simplement un avant-goût. Pour ceux-là, l'iPad est un nouveau genre d'ordinateur, ultra-mobile mais pleinement capable. Le monde de l'éducation, particulièrement, se montre intéressé par l'engin.

Ce que Mac4Ever aime et déteste de l'iPad



Pour vous aider à vous faire votre opinion, nous avons compilé les différents points saillants de l'iPad et les avons résumé dans un on aime, on déteste.


Mac4Ever Aime



• Le Prix de l'entrée de gamme. 499 $ (autant d'euros ?) pour un ordinateur qui, aux dires de ses premiers testeurs, va très vite.
• Le concept d'ardoise ultra légère qui devrait faire un carton dans le monde de l'éducation.
• Les promesses logicielles. Imaginez la logithèque spéciale iPad d'ici quelques mois. Ces jeux de plateaux inter-actifs, ces logiciels de dessins ou de retouche au doigt, ou lorsque vous piloterez votre Mac depuis votre iPad ?
• L'autonomie. 10 heures en usage, 1 mois en veille, voilà qui parlera à tous les utilisateurs mobiles.
• Les médias du futur. L'iPad excite fort les sociétés de presse qui y voient une occasion de faire une presse plus moderne, plus animée, et plus rentable, et donc, peut être, de meilleure qualité. La lecture de e-book a, également, l'air au top. Mais quid de l'écran rétro-éclairé par rapport aux écrans spécifiquement conçus du Kindle ?
•Le modèle tout propriétaire. Gage de qualité et de sécurité, l’utilisateur se concentre uniquement sur ses besoins : mail, internet, communication, présentations. Apple se porte garant de la stabilité du système et des applications tandis que les développeurs bénéficient d'une plate-forme unique quel que soit leur importance.

Ce que Mac4Ever aime et déteste de l'iPad



Mac4Ever déteste



Ce que Mac4Ever aime et déteste de l'iPad
• L'unique connecteur Dock Connector. Ça sera, bientôt, la foire aux adaptateurs, qui pour le VGA (déjà dispo), le HDMI, qui pour les transferts photos (Apple en propose déjà un), qui pour y connecter un disque dur etc. Mais tout de même : quelques ports USB n'auraient sans doute pas ruiné le projet, ni son esthétique.
L'absence de WebCam. Et là, franchement, on ne comprend pas.
L'absence de multitâches. Cependant, Apple n'a, pour l'heure, dévoilé qu'une version adaptée de son SDK à l'iPad. Il y a de bonnes chances que les fonctionnalités évoluent rapidement avec l'arrivée d'une version future du SDK.
L'iPad exige Léopard 10.5.8 au minimum sur Mac. Adieu Tiger ? Alors même que la tablette fonctionne avec Windows XP ? Drôle de façon de fidéliser le client. (Merci Eliotus )
• Le modèle tout propriétaire. Chaque application doit être validée par Apple, ce qui freine largement la concurrence avec les technologies maison. Ainsi, le DivX, le Flash, les plug-in, Silverlight ne sont pour le moment pas les bienvenus. Ce sont des contenus en moins pour l’utilisateur, qui peut se sentir prisonnier d’un modèle économique.

Ce que Mac4Ever aime et déteste de l'iPad


l'iPad

N'hésitez pas à poster vos commentaires, et les points que vous aimez ou détestez que nous n'aurions pas listé ici.