Point de rapport sur les fausses informations pour les actionnaires de Facebook et de Google !
Par Laurence - Publié le
Depuis les élections américaines, les géants du net sont montrés du doigt, pour avoir laisser passer bon nombre de fausses informations via leurs plates-formes. Pour autant, lors de l'assemblée des actionnaires, tous ont tous refusé en bloc les propositions visant à commander des rapports sur les fake news.
Il n'y aura pas de rapport (officiel ?) évaluant les risques commerciaux lié à la diffusion de fausses informations sur Facebook ou de rapport sur leur gestion chez Google. Rappelons qu'a été également refusé un rapport sur les différences de salaires entre les hommes et les femmes dans l’entreprise...
Toutefois, cette réponse peu surprenante. En effet, la majorité des droits de vote est détenu par les actionnaires principaux (comme Mark Zuckerberg) et ces derniers ne sont pas vraiment favorables à ce genre d'audit. Pour autant, elles entendent développer d'autres moyens pour rassures les utilisateurs et les médias. Par exemple, Facebook a déclaré qu'elle expérimentait son flux de news et de nouvelles fonctionnalités pour faciliter le signalement de messages "douteux". Elle a également annoncé un plan d'embauche de 3 000 personnes supplémentaires pour surveiller les messages.
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Il n'y aura pas de rapport (officiel ?) évaluant les risques commerciaux lié à la diffusion de fausses informations sur Facebook ou de rapport sur leur gestion chez Google. Rappelons qu'a été également refusé un rapport sur les différences de salaires entre les hommes et les femmes dans l’entreprise...
Toutefois, cette réponse peu surprenante. En effet, la majorité des droits de vote est détenu par les actionnaires principaux (comme Mark Zuckerberg) et ces derniers ne sont pas vraiment favorables à ce genre d'audit. Pour autant, elles entendent développer d'autres moyens pour rassures les utilisateurs et les médias. Par exemple, Facebook a déclaré qu'elle expérimentait son flux de news et de nouvelles fonctionnalités pour faciliter le signalement de messages "douteux". Elle a également annoncé un plan d'embauche de 3 000 personnes supplémentaires pour surveiller les messages.
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