Arrestations : la SCPP se félicite !
Par Didier Pulicani - Publié le
Cette affaire risque de faire beaucoup de bruit en France. Vous vous rappelez certainement de l'enseignant de 29 ans, arrêté pour avoir téléchargé quelques centaines de MP3 sur les réseaux P2P, pour son usage personnel.
Et bien la SCPP (Société civile des producteurs phonographiques), que l'on pourrait considérer comme l'équivalent de la RIAA en France, s'est félicitée de l'arrestation, qui serait, semble-t-il à l'initiative de la brigade de gendarmerie de Rosny-sous-Bois.
Il est clair que cette arrestation (dont le procès est prévu pour la fin de l'année) risque d'instaurer un vrai débat à propos du P2P au sein même du gouvernement, si l'on en croit le nombre considérable d'associations ayant pris parti. Espérons que tout cela n'aboutisse pas à une taxe de plus, sur les fournisseur d'accès par exemple, et surtout que l'on arrête de traquer les internautes français comme des criminels, alors qu'ils sont chaque jour des millions à s'échanger de la musique sans réellement prendre conscience des risques encourus. (A savoir 3 ans de prison et 300 000 euros d'amende !)
• Plus d'infos ?
En attendant les procès, on ne saurait trop vous conseiller de faire très attention si vous êtes un adepte acharné du P2P...
Et bien la SCPP (Société civile des producteurs phonographiques), que l'on pourrait considérer comme l'équivalent de la RIAA en France, s'est félicitée de l'arrestation, qui serait, semble-t-il à l'initiative de la brigade de gendarmerie de Rosny-sous-Bois.
La SCPP réaffirme sa mission de lutte contre la piraterie musicale sur internet et soutient la procédure pénale initiée par la brigade de gendarmerie.Et de conclure :
La charte signée le 28 juillet entre les pouvoirs publics, les fournisseurs d'accès et les principaux acteurs de la filière musicale prévoit spécifiquement le dépôt de plaintes tant pénales que civiles contre les contrefacteurs de l'internet.
Il est clair que cette arrestation (dont le procès est prévu pour la fin de l'année) risque d'instaurer un vrai débat à propos du P2P au sein même du gouvernement, si l'on en croit le nombre considérable d'associations ayant pris parti. Espérons que tout cela n'aboutisse pas à une taxe de plus, sur les fournisseur d'accès par exemple, et surtout que l'on arrête de traquer les internautes français comme des criminels, alors qu'ils sont chaque jour des millions à s'échanger de la musique sans réellement prendre conscience des risques encourus. (A savoir 3 ans de prison et 300 000 euros d'amende !)
• Plus d'infos ?
En attendant les procès, on ne saurait trop vous conseiller de faire très attention si vous êtes un adepte acharné du P2P...