Arroseur arrosé
Par Contributeur - Publié le
C’est autour d’iPapy de se faire doucher par son tuyau d’arrosage… Jusqu’à présent, Appleu surfait sur la vague des "pôvreuuuu-malheureueueu-victimeueueux" de Micro$oft, qui protégeait et cadenassait ses logiciels et ses codecs propriétaires pour éviter que la concurrence (considéré également par Appleu comme un gros mot), ne vienne marcher sur ses plates-bandes.
Mais avec l’arrivée de Real, qui a eu non seulement l’extrême indélicatesse de proposer ses chansons à un prix moindre que celui d’ITMS (Premier crime de lèse-iPapyté), mais qui a en plus mis au point Harmony, un système qui permet d’écouter les musiques vendues par Real Networks sur sa boîte-à-musique, quelqu’en soit la marque (et donc iPoderie compatible : deuxième crime de Lèse-iPapyté), iPapy, l'aspergeur aspergé, semble de plus en plus décidé à passer du côté sombre de la Force…
La protection FairPlay d'Appleu impose, normalement, que les musiques écoutables sur iPod et achetées sur le Net, c'est à dire disposant d'une gestion des droits, proviennent seulement et uniquement de l'iTunes Music Store. Pourtant, en achetant des titres sur le site Real, on peut les faire fonctionner sur un iPod. Cela risque de changer, car Appleu s'est empressé d'annoncer que les prochaines versions d'iTunes rendraient les morceaux commercialisés par Real incompatibles avec l'iPod. iPapy revét de moins en moins souvent son armure de preux chevalier qui lutte contre les sociétés monopolistiques, qui empêchent leurs logiciels d'être compatibles avec le Mac…
Real pleurniche à son tour devant les menaces d’Appleu de le traîner devant les tribunaux. Depuis le retour d’iPapy à la tête d’Appleu après sa traversée du désert, le recours, un peu facile, au cabinets d’avocats d’affaires américains, avec l’indisponibilité de produits annoncés, est devenu une spécialité de Cupertino… Dans une interview accordée à Slashdot, Glaser, qui gagne sa vie en dirigeant Real Networks, souligne qu’Harmony et son système de gestion de droits Helix, ne violent pas la loi, puisqu’il n’y a pas éradication ou modification du système de gestion de droits d’Appleu (FairPlay). Reste à savoir si ça convaincrera les juges…
Ah! Le bon vieux temps où iPapy endossait son armure étincellante de chevalier de l'idustrie, brisant les monopôles et les systèmes qui asservissent l'utilisateur… Comme le temps passe, et comme le plein d'essence des jets privés à encore augmenté…
On apprend encore une chose intéressante dans l’interview de Glaser : il semblerait qu’iPapy nous ait encore raconté des carambouilles. Si cela se confirme, cela donnerait encore une fois l’impression qu’iPapy aime prendre ses interlocuteurs pour des crétins, en leur mentant sciemment…
iPapy avait annoncé qu’Appleu ne faisait pas de bénéfices sur la vente de ses chansons. D’après le sieur Glaser, à moins qu’iPapy malgré des ventes plus importantes n’ait pas réussi à négocier des prix aussi intéressants que ses concurrents, ou bien à moins que les frais généraux de l’IMTS coutent à ce point plus chers que ceux de la concurrence, Appleu gagne de l’argent dans la vente de chansons. Les majors du disque vendraient un titre entre 65 et 70 cents. A cela il faut rajouter 9 cents de frais de distribution, et quelques "pennies" par chansons pour les frais bancaises (VISA…), le support technique et la bande passante. Mais il reste au moins 21 cents de marge qui ont été avalé par le trou noir d’iPapy (des pleins d’essence pour son jet ?). Si la calculette d’OS X donne l’heure exacte, un rapide calcul (100 millions de titres vendus sur l’ITMS x 21 cents) donne 17 197 614 €. Ca ressemble pourtant, bougrement à un profit. Mais peut-être qu'iPapy considère qu’un montant aussi "dérisoire" n’est pas du profit, mais juste de l’argent de poche…
PS : Real Network, malgré toutes ses larmes de crocodile versées devant le refus d'Appleu de s'ouvrir à la concurrence, reste tout de même une société reconnue et célèbre… pour prendre les utilisateurs en otage. Entre les annonces d'un Real Player "gratuit" pendant des années, qui amènaient sur une page qui ne proposeaient que des versions payantes, à part un petit lien dans un coin que personne ne remarque pour télécherger la version gratuite, entre les options difficiles à configurer et le Player qui essaye tout ce qu'il peut pour s'imposer et controler le plus de .MIME possible, Real Networks a une longue d'histoire d'abus, même si la version 10 semble montrer un éclaircissement dans la politique de la société.
Mais avec l’arrivée de Real, qui a eu non seulement l’extrême indélicatesse de proposer ses chansons à un prix moindre que celui d’ITMS (Premier crime de lèse-iPapyté), mais qui a en plus mis au point Harmony, un système qui permet d’écouter les musiques vendues par Real Networks sur sa boîte-à-musique, quelqu’en soit la marque (et donc iPoderie compatible : deuxième crime de Lèse-iPapyté), iPapy, l'aspergeur aspergé, semble de plus en plus décidé à passer du côté sombre de la Force…
La protection FairPlay d'Appleu impose, normalement, que les musiques écoutables sur iPod et achetées sur le Net, c'est à dire disposant d'une gestion des droits, proviennent seulement et uniquement de l'iTunes Music Store. Pourtant, en achetant des titres sur le site Real, on peut les faire fonctionner sur un iPod. Cela risque de changer, car Appleu s'est empressé d'annoncer que les prochaines versions d'iTunes rendraient les morceaux commercialisés par Real incompatibles avec l'iPod. iPapy revét de moins en moins souvent son armure de preux chevalier qui lutte contre les sociétés monopolistiques, qui empêchent leurs logiciels d'être compatibles avec le Mac…
Real pleurniche à son tour devant les menaces d’Appleu de le traîner devant les tribunaux. Depuis le retour d’iPapy à la tête d’Appleu après sa traversée du désert, le recours, un peu facile, au cabinets d’avocats d’affaires américains, avec l’indisponibilité de produits annoncés, est devenu une spécialité de Cupertino… Dans une interview accordée à Slashdot, Glaser, qui gagne sa vie en dirigeant Real Networks, souligne qu’Harmony et son système de gestion de droits Helix, ne violent pas la loi, puisqu’il n’y a pas éradication ou modification du système de gestion de droits d’Appleu (FairPlay). Reste à savoir si ça convaincrera les juges…
Ah! Le bon vieux temps où iPapy endossait son armure étincellante de chevalier de l'idustrie, brisant les monopôles et les systèmes qui asservissent l'utilisateur… Comme le temps passe, et comme le plein d'essence des jets privés à encore augmenté…
On apprend encore une chose intéressante dans l’interview de Glaser : il semblerait qu’iPapy nous ait encore raconté des carambouilles. Si cela se confirme, cela donnerait encore une fois l’impression qu’iPapy aime prendre ses interlocuteurs pour des crétins, en leur mentant sciemment…
iPapy avait annoncé qu’Appleu ne faisait pas de bénéfices sur la vente de ses chansons. D’après le sieur Glaser, à moins qu’iPapy malgré des ventes plus importantes n’ait pas réussi à négocier des prix aussi intéressants que ses concurrents, ou bien à moins que les frais généraux de l’IMTS coutent à ce point plus chers que ceux de la concurrence, Appleu gagne de l’argent dans la vente de chansons. Les majors du disque vendraient un titre entre 65 et 70 cents. A cela il faut rajouter 9 cents de frais de distribution, et quelques "pennies" par chansons pour les frais bancaises (VISA…), le support technique et la bande passante. Mais il reste au moins 21 cents de marge qui ont été avalé par le trou noir d’iPapy (des pleins d’essence pour son jet ?). Si la calculette d’OS X donne l’heure exacte, un rapide calcul (100 millions de titres vendus sur l’ITMS x 21 cents) donne 17 197 614 €. Ca ressemble pourtant, bougrement à un profit. Mais peut-être qu'iPapy considère qu’un montant aussi "dérisoire" n’est pas du profit, mais juste de l’argent de poche…
PS : Real Network, malgré toutes ses larmes de crocodile versées devant le refus d'Appleu de s'ouvrir à la concurrence, reste tout de même une société reconnue et célèbre… pour prendre les utilisateurs en otage. Entre les annonces d'un Real Player "gratuit" pendant des années, qui amènaient sur une page qui ne proposeaient que des versions payantes, à part un petit lien dans un coin que personne ne remarque pour télécherger la version gratuite, entre les options difficiles à configurer et le Player qui essaye tout ce qu'il peut pour s'imposer et controler le plus de .MIME possible, Real Networks a une longue d'histoire d'abus, même si la version 10 semble montrer un éclaircissement dans la politique de la société.