Tout est faux dans le biopic de Steve Jobs, mais l'ancienne RP d'Apple l'aime quand même
Par Laura Tibourcio de la Corre - Publié le
Après John Sculley et Steve Wozniak, c'est au tour d'Andrea Cunningham, ancienne membre de l'équipe de communication qui a lancé le Mac en 1984, de s'exprimer sur le nouveau biopic de Steve Jobs.
Avec le lancement de ce nouveau long métrage consacré au fondateur d'Apple, deux camps semblent s'être formés : ceux représentés dans le film, qui semblent l'apprécier, et ceux, comme Tim Cook, Jony Ive ou Laurene Powell, qui étaient proches de l'homme et ne voit pas ce projet d'un bon oeil.
De son côté, Andrea Cunningham, incarnée par Sarah Snook, affirme qu'à peu près tout est faux dans le film, mais qu'Aaron Sorkin et Danny Boyle ont réussi à recréer l'ambiance du moment et à faire une bonne représentation de Steve Jobs, un homme avec lequel il était parfois difficile de travailler :
L'une des scènes du film reflète une dispute opposant le fondateur d'Apple à Andrea Cunningham à propos de fleurs. L'incident a été inspiré de la biographie de Walter Isaacson, mais sa retranscription est plutôt libre :
En bref, comme l'expliquait Seth Rogen fin septembre, ce film ressemble plus à une fiction qu'à la réalité, et Andrea Cunningham l'adore :
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Avec le lancement de ce nouveau long métrage consacré au fondateur d'Apple, deux camps semblent s'être formés : ceux représentés dans le film, qui semblent l'apprécier, et ceux, comme Tim Cook, Jony Ive ou Laurene Powell, qui étaient proches de l'homme et ne voit pas ce projet d'un bon oeil.
De son côté, Andrea Cunningham, incarnée par Sarah Snook, affirme qu'à peu près tout est faux dans le film, mais qu'Aaron Sorkin et Danny Boyle ont réussi à recréer l'ambiance du moment et à faire une bonne représentation de Steve Jobs, un homme avec lequel il était parfois difficile de travailler :
cet homme a changé le monde, ça valait le coupexplique-t-elle.
C'était difficile et ambitieux, mais il nous a poussé à faire des choses que nous ne pensions pas pouvoir faire.
L'une des scènes du film reflète une dispute opposant le fondateur d'Apple à Andrea Cunningham à propos de fleurs. L'incident a été inspiré de la biographie de Walter Isaacson, mais sa retranscription est plutôt libre :
ce qu'ils montrent, c'est que Steve Jobs était très pointilleux en ce qui concerne son environnement, même si ça ne s'est pas passé comme ça, ils ont très bien saisi le moment. Ils ont changé la façon dont ça s'est passé, mais ils ont compris pourquoi ça s'est passé.
En bref, comme l'expliquait Seth Rogen fin septembre, ce film ressemble plus à une fiction qu'à la réalité, et Andrea Cunningham l'adore :
c'est un super film, il est génial, il est bouleversant... C'est Hollywood!clame-t-elle.
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