#cluedo : elle organise le meurtre de sa belle-mère, son Apple Watch la démasque !
Par Laurence - Publié le
On aurait pu se croire dans un mauvais scenario mais c'est une histoire malheureusement vraie qui s'est déroulée en Australie. La fréquence cardiaque enregistrée par l'Apple Watch de la victime d’un meurtre a en effet permis d'éclaircir les circonstances de son décès et d’en confondre l’auteur.
Il sagit de la belle-fille -désormais inculpée- qui aurait soutenu à la police que sa belle-mère avait été attaquée par un groupe d'hommes non identifiés ayant pénétré par effraction à leur domicile. Or cette version ne coïncidait pas avec les données recueillies par la tocante pommée.
Devant le tribunal, le procureur a donc soulevé une série d'incohérences, s'aidant d'une expertise médico-légale. Cette dernière a permis d'isoler une fenêtre de sept minutes entre 18h38 et 18h45 montrant un pic d'activité intense (cohérente avec la thèse d’une attaque), puis un ralentissement (a priori une perte de connaissance) avant un arrêt cardiaque.
Or, l'accusée soutenait que les faits avaient eu lieu beaucoup plus tard et qu'elle aurait également été attaquée et ligotée par les intrus. Mais la technique a eu raison de la fable démontrant qu'elle était parfaitement libre de ses gestes puisqu’elle a utilisé son téléphone portable à 19h02 pour envoyer un SMS à son mari et à 19h23 pour accéder à eBay (...). Affaire à suivre...
Source
Il sagit de la belle-fille -désormais inculpée- qui aurait soutenu à la police que sa belle-mère avait été attaquée par un groupe d'hommes non identifiés ayant pénétré par effraction à leur domicile. Or cette version ne coïncidait pas avec les données recueillies par la tocante pommée.
Devant le tribunal, le procureur a donc soulevé une série d'incohérences, s'aidant d'une expertise médico-légale. Cette dernière a permis d'isoler une fenêtre de sept minutes entre 18h38 et 18h45 montrant un pic d'activité intense (cohérente avec la thèse d’une attaque), puis un ralentissement (a priori une perte de connaissance) avant un arrêt cardiaque.
Or, l'accusée soutenait que les faits avaient eu lieu beaucoup plus tard et qu'elle aurait également été attaquée et ligotée par les intrus. Mais la technique a eu raison de la fable démontrant qu'elle était parfaitement libre de ses gestes puisqu’elle a utilisé son téléphone portable à 19h02 pour envoyer un SMS à son mari et à 19h23 pour accéder à eBay (...). Affaire à suivre...
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