Le co-fondateur de Twitter veut remplacer Google et Yahoo! Answers
Par Laura Tibourcio de la Corre - Publié le
Quelques semaines après son lancement, Biz Stone, co-fondateur de X, revient sur le concept de , son nouveau projet de réseau social mobile.
est un réseau social d'entraide où les membres peuvent poser des questions en y ajoutant une photo et obtenir une réponse de leur entourage proche ou lointain. Ce serait donc un peu comme Quora, Yahoo Questions / Réponses ou même Google ? Pas du tout selon Biz Stone (de son vrai nom Christopher Stone), qui voit son service comme un outil pour résoudre des problèmes que les machines ne peuvent interpréter :
Biz insiste que l'aspect visuel que peut apporter Jelly pour contextualiser les questions. Les réponses elles aussi peuvent comporter des éléments visuels tels que des dessins ou des indications sur la photo initiale. Le design de l'application peut troubler au premier abord mais Biz assure qu'il a été étudié pour servir l'objectif de l'application : obtenir des réponses concrètes à ses questions.
En effet, Biz Stone voulait se distinguer de Twitter avec Jelly : chaque question est présentée rapidement à l'utilisateur en lui demandant s'il connait la réponse, s'il connait quelqu'un susceptible de répondre ou s'il passe son tour. Après cette phase, la question disparait
L'application est actuellement gratuite et sans publicité. Comment se finance-t-elle me direz-vous ? Biz Stone affirme que pour le moment, il investit de l'argent et du temps pour tenter de prouver que Jelly est un outil utile pour un grand nombre de personnes, avant de penser à le monétiser :
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est un réseau social d'entraide où les membres peuvent poser des questions en y ajoutant une photo et obtenir une réponse de leur entourage proche ou lointain. Ce serait donc un peu comme Quora, Yahoo Questions / Réponses ou même Google ? Pas du tout selon Biz Stone (de son vrai nom Christopher Stone), qui voit son service comme un outil pour résoudre des problèmes que les machines ne peuvent interpréter :
je pourrais par exemple poster une photo de mon fils avec un chapeau et demander si ce genre de d'accessoire est approprié pour le protéger des UV.
Biz insiste que l'aspect visuel que peut apporter Jelly pour contextualiser les questions. Les réponses elles aussi peuvent comporter des éléments visuels tels que des dessins ou des indications sur la photo initiale. Le design de l'application peut troubler au premier abord mais Biz assure qu'il a été étudié pour servir l'objectif de l'application : obtenir des réponses concrètes à ses questions.
En effet, Biz Stone voulait se distinguer de Twitter avec Jelly : chaque question est présentée rapidement à l'utilisateur en lui demandant s'il connait la réponse, s'il connait quelqu'un susceptible de répondre ou s'il passe son tour. Après cette phase, la question disparait
pour toujourset l'utilisateur ne pourras pas revenir dessus. Biz espère ainsi éviter les réponses mielleuses ou les conversations hors sujet, sans pour autant supprimer l'aspect
funde l'application.
L'application est actuellement gratuite et sans publicité. Comment se finance-t-elle me direz-vous ? Biz Stone affirme que pour le moment, il investit de l'argent et du temps pour tenter de prouver que Jelly est un outil utile pour un grand nombre de personnes, avant de penser à le monétiser :
nous devons attendre d'avoir prouvé la valeur de notre produit : atteindre une masse critique ou montrer que les gens utilisent vraiment Jelly.
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