Les lutins de l'AppStore n'aimeraient pas les brunettes
Par Didier Pulicani - Publié le
ikamasutra faisait figure de petite référence en son genre, sur l'AppStore, jusqu'au jour où... Apple a décidé d'invalider l'application. Après plusieurs années sur la boutique et plus de 13 millions de téléchargements, les développeurs ont été quelque peu surpris de la décision, survenue unilatéralement suite à une mise à jour.
L'objet du délit ? La nouvelle icône serait trop
Pour la petite histoire, Google a également décidé de supprimer l'application en question (Pas de porno sur Google Play !), mais le développeur souligne que toute discussion était quasi impossible avec le géant de la recherche. Moins chiches, Amazon et Microsoft tolèrent encore le programme sur leurs boutiques respectives.
Précisions que si Apple a largement ouvert ses limitations et que rares sont les applications à être aujourd'hui vraiment rejetées (pour peu qu'elles respectent les lignes de conduite), c'est encore ce type de décision -unilatérale, et changeante- qui suscite aujourd'hui le plus de frustrations. C'est d'autant plus vrai en ces temps de crise, où une app qui marche peut représenter une grande partie des revenus d'une petite société..
L'objet du délit ? La nouvelle icône serait trop
expliciteet le fait de colorer les cheveux en brun (jusqu'à présent, ils étaient de la même couleur que le corps) a suscité une certaine émotion chez nos amis les lutins validateurs. Une fois le sopalin® rangé et le discussions entamées, les équipes d'Apple n'ont toujours pas accepté le programme : motif, trop d'applications de ce type sont présentes sur l'AppStore (une réponse quasi automatique, plutôt destinée aux coussins péteurs qu'autre chose). Un comble, pour cette app, qui était restée dans le
top 10d'iTunes pendant des mois.
Pour la petite histoire, Google a également décidé de supprimer l'application en question (Pas de porno sur Google Play !), mais le développeur souligne que toute discussion était quasi impossible avec le géant de la recherche. Moins chiches, Amazon et Microsoft tolèrent encore le programme sur leurs boutiques respectives.
Précisions que si Apple a largement ouvert ses limitations et que rares sont les applications à être aujourd'hui vraiment rejetées (pour peu qu'elles respectent les lignes de conduite), c'est encore ce type de décision -unilatérale, et changeante- qui suscite aujourd'hui le plus de frustrations. C'est d'autant plus vrai en ces temps de crise, où une app qui marche peut représenter une grande partie des revenus d'une petite société..