Apple et Google face à la confidentialité
Par Didier Pulicani - Publié le
AllThingsD a posté une vidéo dans laquelle on peut écouter tant Steve Jobs qu'Andy Rubin, sur la question de la sécurité, qui est sur toutes les lèvres depuis la découverte des données de position stockées sur les smartphones.
Pour Jobs, le respect de la vie privée est prise très au sérieux sur l'iPhone. Hors de question de laisser les applications vous traquer sans votre consentement. Il justifie ainsi la fonction d'autorisation explicite de l'utilisateur, dès qu'un programme désire accéder aux données de positionnement. iPapy insiste par ailleurs pour que cette fonction ne soit pas cachée dans les entrailles de l'OS, mais soit définie par un choix de l'utilisateurs.
Côté Google, on est un peu plus évasif. Certes, Rubin met en avant le fait qu'Android est Open Source, et que, par définition, chacun peut vérifier ce que stocke et envoie Google à ses serveurs. De l'autre, personne n'a accès aux surcouches des constructeurs ou des opérateurs, Rubin reconnaissant d'ailleurs l'impossibilité de contrôle sur ce point. Concernant Google, l'homme se réfugie derrière les conditions d'utilisation du moteur de recherche, qui, on le sait, indexe tout ce que vous faites dès lors que vous êtes connectés avec votre compte GMail.
Voir la vidéo
Pour Jobs, le respect de la vie privée est prise très au sérieux sur l'iPhone. Hors de question de laisser les applications vous traquer sans votre consentement. Il justifie ainsi la fonction d'autorisation explicite de l'utilisateur, dès qu'un programme désire accéder aux données de positionnement. iPapy insiste par ailleurs pour que cette fonction ne soit pas cachée dans les entrailles de l'OS, mais soit définie par un choix de l'utilisateurs.
Côté Google, on est un peu plus évasif. Certes, Rubin met en avant le fait qu'Android est Open Source, et que, par définition, chacun peut vérifier ce que stocke et envoie Google à ses serveurs. De l'autre, personne n'a accès aux surcouches des constructeurs ou des opérateurs, Rubin reconnaissant d'ailleurs l'impossibilité de contrôle sur ce point. Concernant Google, l'homme se réfugie derrière les conditions d'utilisation du moteur de recherche, qui, on le sait, indexe tout ce que vous faites dès lors que vous êtes connectés avec votre compte GMail.
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