La French Tech à New York : Axelle Lemaire veut rassurer les investisseurs
Par Laura Tibourcio de la Corre - Publié le
A New-York pour promouvoir de jeunes pousses lors du festival French Tech, Axelle Lemaire, secrétaire d'État au Numérique, s'est exprimée sur ses projets pour aider les startup françaises et l'attractivité de la France pour les entrepreneurs.
Pour Axelle Lemaire, ce festival French Tech à New-York était nécessaire pour promouvoir les startup françaises et leur permettre de se développer rapidement en attaquant les marchés internationaux.
Pour continuer dans ce sens, 15 millions d'euros devraient être consacrés à la promotion de l'attractivité de la France à l'international et pourraient, par exemple, servir à financer la présence de jeunes pousses tricolores au CES de Las Vegas, au SouthBySouthWest d'Austin, sous la bannière French Tech, bien entendu.
En revanche, si Axelle Lemaire souhaite mettre les startup françaises sur le devant de la scène internationale tech, elle tient à ce qu'elles restent dans l'hexagone, pour éviter que la création de valeur ne se fasse en France, mais que le profit ne soit tiré par la suite aux Etats-Unis, en cas de rachat :
En outre, si certains entrepreneurs se plaignent parfois de la fiscalité française, la secrétaire d'Etat au Numérique affirme que la France n'a pas à rougir face à Londres, par exemple, lorsqu'on en prend en compte le coût global de la vie (santé, logement, éducation) :
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Pour Axelle Lemaire, ce festival French Tech à New-York était nécessaire pour promouvoir les startup françaises et leur permettre de se développer rapidement en attaquant les marchés internationaux.
Pour continuer dans ce sens, 15 millions d'euros devraient être consacrés à la promotion de l'attractivité de la France à l'international et pourraient, par exemple, servir à financer la présence de jeunes pousses tricolores au CES de Las Vegas, au SouthBySouthWest d'Austin, sous la bannière French Tech, bien entendu.
En revanche, si Axelle Lemaire souhaite mettre les startup françaises sur le devant de la scène internationale tech, elle tient à ce qu'elles restent dans l'hexagone, pour éviter que la création de valeur ne se fasse en France, mais que le profit ne soit tiré par la suite aux Etats-Unis, en cas de rachat :
il nous faut rassurer les investisseurs étrangers, installer un climat de confiance en France, et changer la perception qu'ils ont de notre pays. Les investisseurs américains ont trop souvent une vision caricaturale de la France, qu'ils voient comme un pays "crypto-communiste"!affirme-t-elle.
En outre, si certains entrepreneurs se plaignent parfois de la fiscalité française, la secrétaire d'Etat au Numérique affirme que la France n'a pas à rougir face à Londres, par exemple, lorsqu'on en prend en compte le coût global de la vie (santé, logement, éducation) :
la France est très bien placée en matière d'attractivitéaffirme-t-elle. Vivant à Londres, Axelle Lemaire sait de quoi elle parle à priori.
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