Quand Steve Jobs donnait des conseils en recrutement
Par Didier Pulicani - Publié le
L'anecdote de Tom Zito date un peu (1983), mais elle en disait déjà long sur les capacités de Steve Jobs à s'entourer des meilleurs.
Le journaliste a été invité par iPapy à Cupertino, pour suivre de près l'équipe en charge du Mac. Un jour, lors d'une petite réunion de 25 personnes, Steve a expliqué en quelques mots sa stratégie de recrutement, qui s'applique encore aujourd'hui dans l'entreprise.
Ce qu'on pourrait traduire en français un peu adapté par
Si aux dires du journaliste, l'assistance n'avait pas tout à fait cerné la chose, il faut surtout comprendre que selon le fondateur, pour recruter les meilleurs, il faut déjà être le meilleur. Et effectivement, Jobs ne s'est pas privé de débaucher des personnalités très calées dans des entreprises concurrentes, qu'il faisait rêver à venir travailler sur son campus, dont la réputation n'a jamais fléchi.
Le journaliste a été invité par iPapy à Cupertino, pour suivre de près l'équipe en charge du Mac. Un jour, lors d'une petite réunion de 25 personnes, Steve a expliqué en quelques mots sa stratégie de recrutement, qui s'applique encore aujourd'hui dans l'entreprise.
A players hire A players, B players hire C players. Do you get it?
Ce qu'on pourrait traduire en français un peu adapté par
La ligue 1 recrute des joueurs de Ligue 1. La ligue 2 recrute en ligue 3. Vous voyez le truc ?
Si aux dires du journaliste, l'assistance n'avait pas tout à fait cerné la chose, il faut surtout comprendre que selon le fondateur, pour recruter les meilleurs, il faut déjà être le meilleur. Et effectivement, Jobs ne s'est pas privé de débaucher des personnalités très calées dans des entreprises concurrentes, qu'il faisait rêver à venir travailler sur son campus, dont la réputation n'a jamais fléchi.