Barre de défilement : quand Google casse les codes
Par Arnaud Morel - Publié le
Lukas Mathis est designer d'interface et propose régulièrement, sur son blog, des commentaires sur les succès ou les ratés des interfaces graphiques qui nous environnement. Son dernier billet s'intéresse de près aux barres de défilement de Google Wave, lesquelles changent assez fortement de ce qu'on a l'habitude de voir. Et pas pour le meilleur.
Les barres de défilement indiquent plusieurs choses : la taille du document, et la position relative de la partie affichée à l'écran. Apple fait varier la longueur du curseur de défilement selon la proportion du document visualisé. La position du curseur dans le rail de défilement indique la position relative du texte visible.
Google, pour Wave, cherche à s'adapter plus facilement aux petits écrans, notamment ceux des smartphone, et veut donc limiter la course du curseur. Pour ce faire, hélas, le géant a recours à un dispositif alambiqué : un petit pointeur indique la longueur du document, tandis que le curseur est affublé des flèches de défilement. Et évidemment, quand on s'en sert, on modifie... la position du curseur. Pour régler ce problème ergonomique, Google a introduit un "curseur fantôme" censé montrer où se situera le curseur une fois relaché. Compliqué, non ?
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Les barres de défilement indiquent plusieurs choses : la taille du document, et la position relative de la partie affichée à l'écran. Apple fait varier la longueur du curseur de défilement selon la proportion du document visualisé. La position du curseur dans le rail de défilement indique la position relative du texte visible.
Google, pour Wave, cherche à s'adapter plus facilement aux petits écrans, notamment ceux des smartphone, et veut donc limiter la course du curseur. Pour ce faire, hélas, le géant a recours à un dispositif alambiqué : un petit pointeur indique la longueur du document, tandis que le curseur est affublé des flèches de défilement. Et évidemment, quand on s'en sert, on modifie... la position du curseur. Pour régler ce problème ergonomique, Google a introduit un "curseur fantôme" censé montrer où se situera le curseur une fois relaché. Compliqué, non ?
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