Tout comme Apple, Tesla n'aime pas beaucoup déléguer les réparations de ses produits par des organismes tiers non certifiés. Europe oblige, ces firmes ont bien été forcées de proposer des solutions pour se mettre en règle sur le Vieux Continent. Désormais, Tesla va donc devoir fournir des accès à ses équipements et outils de diagnostic pour les concessionnaires et réparateurs agréés. Sauf que... les tarifs demandés soit de loin excessifs : 30 €/h pour un accès au portail, et 125 €/h pour la solution de diagnostic, un prix qui risque d'être dissuasif et coûteux pour le consommateur. Apple applique le même genre de contraintes, en facturant les pièces d'origine à des tarifs parfois peu intéressants pour les réparateurs, là où des éléments non certifiés (et parfois installés à l'insu des clients) sont proposé 3 à 4 fois moins chers. Apple va même jusqu'à bloquer l'usage de certains composants via des MAJ logicielles... officiellement pour des raisons de sécurité.
