La semaine dernière, Bloomberg relançait l'affaire des puces espions chinoises installées sur les serveurs de Super Micro Computer et destinées à surveiller de près certaines entreprises et administrations américaines. Dévoilée en 2017, celle-ci avait créée une vive polémique avant de sombrer dans les oubliettes. Dans le nouvel épisode de ce jour, un ancien spécialiste de la cybersécurité au GCHQ (l'équivalent britannique de la NSA) estime que la totalité du dossier ne reposait que sur un gros malentendu... Sur Twitter, Matt Tait relève l'objectif sensationnel poursuivi par le média, l'extrapolation de certaines informations et l'absence de recherches nécessaires...
