Uber va reprendre les essais de conduite autonome (avec beaucoup de précautions)
Par Laurence - Publié le
Après neuf mois d’arrêt, Uber Technologies envisage de tester à nouveau ses voitures autonomes. Mais, elle va adopter une approche plus prudente, après le terrible accident mortel survenu en début d’année. Ce dernier avait d’ailleurs entraîné la suspension des tests chez de nombreux constructeurs, devant la panique générale.
Pour cela, la firme de VTC devra encore recevoir l’autorisation de l’Etat de Pennsylvanie. Elle envisage en effet de faire rouler quelques voitures sur des courts trajets entre deux de ses bureaux de Pittsburgh. Les essais seraient alors bien différents des précédentes expériences. Il n’est plus question de routes à grande vitesse, de conduite de nuit ou dans des zones fréquentées par des piétons ou encore avec un seul chauffeur de secours à l’avant.
Selon le porte parole de la société, les nouveaux exercices se feront de jour, par temps sec, avec une vitesse limitée à 40 km/h. Désormais, deux employés seront présents à l’avant et le projet de transport de passagers est désormais en stand-by. La reprise de ce programme est un véritable enjeu financier pour Uber, qui a conclu un partenariat avec Volvo (sur 24 000 voitures autonomes) et Toyota (440 millions d’euros d’investissement).
Enfin, rappelons que le Conseil national de la sécurité des transports avait ouvert une enquête sur l’accident de mars 2018. Son rapport est attendu pour le courant de l’année 2019.
Source
Pour cela, la firme de VTC devra encore recevoir l’autorisation de l’Etat de Pennsylvanie. Elle envisage en effet de faire rouler quelques voitures sur des courts trajets entre deux de ses bureaux de Pittsburgh. Les essais seraient alors bien différents des précédentes expériences. Il n’est plus question de routes à grande vitesse, de conduite de nuit ou dans des zones fréquentées par des piétons ou encore avec un seul chauffeur de secours à l’avant.
Selon le porte parole de la société, les nouveaux exercices se feront de jour, par temps sec, avec une vitesse limitée à 40 km/h. Désormais, deux employés seront présents à l’avant et le projet de transport de passagers est désormais en stand-by. La reprise de ce programme est un véritable enjeu financier pour Uber, qui a conclu un partenariat avec Volvo (sur 24 000 voitures autonomes) et Toyota (440 millions d’euros d’investissement).
Enfin, rappelons que le Conseil national de la sécurité des transports avait ouvert une enquête sur l’accident de mars 2018. Son rapport est attendu pour le courant de l’année 2019.
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