Pour Phil Schiller, les assistants virtuels ne peuvent se passer totalement d'un écran
Par Arthur de la Brosse - Publié le
Le VP de Cupertino explique notamment que si ces appareils peuvent être pratiques dans certaines situations, ils sont aussi rapidement limités par l'absence d'un écran, notamment lorsque l'on souhaite obtenir un itinéraire ou jeter un oeil sur une photo.
L'idée d'embarquer un majordome virtuel dans une enceinte connectée peut toutefois avoir un intérêt certain dans des moments bien précis, notamment en voiture, où l'utilisateur doit garder son attention sur la route, mais aussi depuis le fond d'un canapé ou d'un lit, pour changer de musique ou gérer l'ambiance lumineuse.
En bref, si Phil Schiller écarte rapidement l'idée qu'un compagnon virtuel puisse être véritablement performant en se limitant exclusivement à des interactions vocales, il reconnait également porter un certain intérêt aux appareils plus simples, susceptibles de faire leur place dans le quotidien des utilisateurs.
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