Quand Stallman se réjouit que Steve Jobs "soit parti"
Par Didier Pulicani - Publié le
Steve Jobs, le pionnier de l'ordinateur conçu comme une prison devenue cool, conçu pour divertir les fous de leur liberté, est mort.
Comme le maire de Chicago, Harold Washington l'avait dit pour son prédécesseur corrompu Daley, "Je ne suis pas heureux qu'il soit mort mais heureux qu'il soit parti". Personne ne mérite de mourir - ni Jobs, ni Mr. Bill, pas même les diables de la pire espèce. Mais nous méritons tous la fin de l'influence néfaste de Jobs sur l'informatique personnelle.
Manque de chance, son influence persiste malgré sa disparition. Nous pouvons seulement espérer que ses successeurs, qui tentent de poursuivre son héritage, seront moins performants.
Richard Stallman est considéré comme le père du logiciel libre.
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Merci Guillaume
[MAJ : Correction du titre]