iPad : c'est comme une voiture avec une boîte de vitesses automatique
Par Arnaud Morel - Publié le
Les commentaires de l'ami John Gruber sur l'iPad méritent d'être un peu rapportés, pertinents qu'ils sont, comme à l'habitude. Pour lui, l'iPad c'est comme une voiture avec une boîte de vitesses automatique, comparé à une voiture avec une boîte manuelle :
Alors certes, commente-t-il, il y a des conséquences négatives : les amateurs ou les spécialistes des voitures continuent d'avoir des boîtes manuelles, qui offrent plus de finesse dans le contrôle.
Autres commentaires de l'ami Gruber : L'iPad introduit des nouveaux éléments d'interface, comme ces palettes "popover", un mélange entre les boîtes de dialogue, les palettes d'inspection et les menus déroulants. Pour les cacher, il suffit de taper ailleurs sur l'écran et, assure-t-il,
Autre indication, la densité de l'écran sur l'iPad est, grosso modo, de 132 pixels par pouce, contre 162 pixels par pouce sur l'iPhone. L'impression de finesse, cependant, reste la même : l'iPad se tient plus éloigné des yeux que l'iPhone. Le clavier, proposé par Apple en option, n'est pas encore très fonctionnel : il ne fait que saisir du texte et se montre, par exemple, incapable de passer d'une zone de saisie à une autre, comme on le ferait avec Tab sur un Mac. Une petite impression de sortie précipitée.
Enfin, dernière remarque, les e-books, avec une petite déception : le texte n'est pas tellement
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C'est là qu'Apple amène l'informatique. Une voiture avec boîte automatique continue de passer les vitesses ; le conducteur n'a juste pas besoin de le savoir. Un ordinateur embarquant l'iPhone Os continue d'avoir un système de fichiers hiérarchise ; l'utilisateur ne le voit juste jamais, explique-t-il.
Alors certes, commente-t-il, il y a des conséquences négatives : les amateurs ou les spécialistes des voitures continuent d'avoir des boîtes manuelles, qui offrent plus de finesse dans le contrôle.
Mais l'immense majorité des voitures vendues aujourd'hui ont des boîtes automatiques
Et il en ira de même avec les ordinateurs dont l'immense majorité sera bientôt comme l'iPad en ce sens qu'ils cacheront la complexité de l'ordinateur. Les "ordinateurs manuels" comme les Mac ou les Pc vont doucement glisser vers un marché de niche, quelque chose qui n'intéressera que les experts, les amateurs ou les programmeurs..
Autres commentaires de l'ami Gruber : L'iPad introduit des nouveaux éléments d'interface, comme ces palettes "popover", un mélange entre les boîtes de dialogue, les palettes d'inspection et les menus déroulants. Pour les cacher, il suffit de taper ailleurs sur l'écran et, assure-t-il,
ça marche parfaitement.
Autre indication, la densité de l'écran sur l'iPad est, grosso modo, de 132 pixels par pouce, contre 162 pixels par pouce sur l'iPhone. L'impression de finesse, cependant, reste la même : l'iPad se tient plus éloigné des yeux que l'iPhone. Le clavier, proposé par Apple en option, n'est pas encore très fonctionnel : il ne fait que saisir du texte et se montre, par exemple, incapable de passer d'une zone de saisie à une autre, comme on le ferait avec Tab sur un Mac. Une petite impression de sortie précipitée.
Enfin, dernière remarque, les e-books, avec une petite déception : le texte n'est pas tellement
mieux renduque sur les autres lecteurs de e-books. La justification reste approximative, il n'y a pas de réglage "fer à gauche".
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